Chaque jour je n'oublie pas Anne-Sophie et ses compagnes d'infortune

145 en 2010 ; 122 en 2011 ; 148 en 2012 ; 121 en 2013 ; 118 en 2014 ; 122 en 2015, 123 en 2016, encore 123 en 2017, 121 en 2018 ? 101 femmes depuis le 1e janvier 2019 en France (2 septembre 2019) , soit une femme tous les deux jours ! accélération ou meilleure visibilité ?

(clic sur le lien pour comprendre ... un peu)

jeudi 28 décembre 2017

La complainte de la butte, paroles de Jean Renoir, musique de Georges Van Parys

Article programmé vendredi 22 décembre

Défis des CROQUEURS DE MOTS et jeudis en poésie en roue libre, trêve des confiseurs oblige pour ces fêtes de fin d'année. Ce n'est pas la trêve pour les estomacs vides et les logés précaires ou pas du tout.

Mes parents m'avaient emmené voir French Cancan au cinéma. Nous n'y allions pas très souvent mais c'était toujours une fête. Et j'en suis ressortie avec dans la tête La complainte de la butte.

mercredi 27 décembre 2017

Melchior en passage à Niort

Avec Melchior, et ses compagnons de légende, je vous invite à quelques jours de Noël et du jour des rois à faire étape à Niort dans les Deux-Sèvres (79), nouvelle région Nouvelle-Aquitaine et l'une des cités principales de l'ancienne province du Poitou.
Pardonnez mes fantaisies, ayant fait "à ma sauce" pour mélanger allègrement histoire, géographie et légendes et romans.

vendredi 22 décembre 2017

En attendant demain

Pour la page 95 de  l'Herbier de poésies   sur une image proposée par Adamante

Sur la pente de la colline du monde Sisyphe remonte une fois de plus son rocher. Il est rouge d'effort et de colère et la terre verte de peur.

jeudi 21 décembre 2017

Veillée de Noël en chansons et en gourmandises

Fanfan à la barre du défi n°197 des CROQUEURS DE MOTS nous invite à penser à Noël pour le second jeudi en poésie du défi.

Un sujet qui m'a d'abord embarrassée, ne souhaitant ni plomber l'atmosphère, ni tomber dans des bluettes ou des niaiseries, ni faire la part belle aux paroles d'un noël "chrétien" dont le message deux mille ans après me semble bien peu respecté. J'ai donc dans un premier temps balancé entre rééditer nos veillées de Noël (après les deuxième  ***) puis laisser tomber les blablas et mettre en parallèle cette joyeuse invite traditionnelle et anonyme et un poème de Victor Hugo. J'avais presque renoncé au poème de Victor Hugo quand, à propos de la ferveur, j'ai visionné chez Eperluette une archive commentant en 1984 l'hommage national fait pour les obsèques de Victor Hugo en 1885, sous la IIIe république vainqueur de la Commune et vaincue par les Prussiens. Ça, c'était hier.

Noël des Bonnes Vieilles, paroles de Xavier Privas, musique de G Charton

Fanfan à la manœuvre du défi n°197 des CROQUEURS DE MOTS nous invitant à penser à Noël pour le second jeudi en poésie du défi a fait suivre à mes pensées des méandres de perplexité dont je m'explique ICI ---> et que je prolonge avec C'est la nuit, la nuit noire, de Victor Hugo, que je présume écrit aux alentours de la nuit de Noël 1851.
Quand j'ai finalement sur Internet ouvert la page de ce Noël des Bonnes Vieilles, j'ai songé aux vieilles de m'ont défi qui avaient failli attraper un rhume de fesses sur les chaises de Fanfan. Le texte était émouvant (je n'avais pas encore téléchargé la partition) mais à la lecture de 4 couplets je ne comprenais pas bien la dernière phrase de présentation : "Cette chanson est particulièrement triste"

C'est la nuit, la nuit noire, de Victor Hugo

Fanfan à la barre du défi n°197 des CROQUEURS DE MOTS nous invite à penser à Noël pour le second jeudi en poésie du défi.

Pour ceux qui veulent juste de la gaieté c'est ICI ---> et pour ceux qui aiment la poésie en chanson c'est ICI --->
J'avais écarté cette idée de faire un pas de côté en vous proposant ce poème quand, à propos de la ferveur, j'ai visionné sur le blog d'Eperluette une archive des obsèques nationales au poète dont les commentaires du journaliste m'ont interrogés.

mercredi 20 décembre 2017

Bianca de Batz

Mon tour de France des prénoms zigzague mais je ne pouvais faire autrement que de vous faire passer par Batz sur Mer (prononcé [bɑ syʁ mεʁ]) quand à la recherche d'une halte j'ai visité la fiche wikipedia de cette ravissante station balnéaire. Songez plutôt je commence par là, il y a même tout un paragraphe sur le costume traditionnel, aussi je vous présente Bianca :

lundi 18 décembre 2017

Défi n°197 : Sur un air de chaises musicales

Fanfan à la barre des "croqueurs de mots " pour la quinzaine qui arrive :Défi N°197

Je vous propose donc de  dire ce que vous inspirent ces chaises  . (En espérant qu'elles vous inspirent ) Pourquoi sont-elles là ?  Que font-elles là ? Qu'attendent-elles ? Qu'ont-elles vu ? Etc ... Et pour corser le tout,je  vous demande juste de glisser deux fois le mot "chocolat" dans votre texte en vers ou en prose.

dimanche 17 décembre 2017

Unique ou invisible ? pour Mil et Une

Pour miletuneVoir ou non l'image support du jeu d'écriture avant de lire bla, bla, bla,*
Pour les images de la  semaine 44 à 51/2017  où la contrainte supplémentaire et facultative est d'insérer un mot à chaque image : fanfare, rumeur, nuance, éphémère, lapsus, sac, liberté, frivole.
*parce que *
et pour le mot que j'ai oublié de caser, je vous entend d'ici suggérer qu'il s'agit d'un lapsus, non ?

samedi 16 décembre 2017

Au delà de la fenêtre ...

Le thème de décembre du Nid des mots à publier le samedi 16 décembre est "Fenêtre(s)"

Je n'ai guère de temps en ce moment mais les fenêtres m'avaient inspirée. M'en voudrez-vous si je réédite une fois de plus ce billet publié un 17 octobre 2011, rapprochant la journée mondiale du refus de la misère du cinquantième anniversaire du drame du 17 octobre 1961.

jeudi 14 décembre 2017

L'attente, de Emile Verhaeren

Fanfan, "l'humoriste corse" ai-je lu en commentaire et son blog va bien en effet à ce trait de caractère, est à la barre des CROQUEURS DE MOTS pour cette quinzaine du défi n°197 avec pour les poésies du jeudi, en attendant noël et ses chansons et comptines la semaine prochaines, l'attente pour ce premier jeudi.

mercredi 13 décembre 2017

Lubin de Saint Aubin

Sur la route du tour de France des prénoms pour la Cour de récré de JB, nous faisons halte aujourd'hui à Saint Aubin, non pas au bord de la mer sur la côte de Nacre, mais dans l'Indre (36), du côté de la champagne berrichonne dans l'ancienne province du Berry.

jeudi 7 décembre 2017

Enfants délurées, au Grand Bal du Printemps de Jacques Prévert

Colette est à la barre du défi n°196 des CROQUEURS DE MOTS et sa feuille de route se résume en deux mots qui englobent toute la vie : Nuit et Jour. Jeudi dernier, je vous ai promis de prolonger à nouveau dans son versant JOUR mon billet du printemps dernier Danse des Sabres. J'avais déjà choisi pour l'occasion ce poème de Prévert que j'ai publié pour le 8 mars 2017, Journée internationale des femmes (au pluriel)
En relisant le poème affiché parmi les billets de mon blog contenant le mot JOUR, je m'aperçois que le mot n'y est pas lui-même. Mais il y est dans les autres mots ; dimanche, quartier désert, magasins fermés, ciel gris souris, jardins vaguement verts.

mercredi 6 décembre 2017

Myosotis, de Saint Maurice les Brousses

Amis et fidèles élèves de JB et de sa cour de récré, cette semaine je vous emmène à Saint Maurice. Non pas celui de la couronne parisienne, entre Bois de Vincennes et Guinguettes fleuries sur la Marne mais celui de la Haute Vienne. Où ça ? Comment, vous ne connaissez pas ? Rôôô !!!!!!!!!!!!

vendredi 1 décembre 2017

Regards d'aurores

Pour la page 93 de l'Herbier de poésies sur un tableau de William Turner

Ils se sont levés aux aurores dans le silence de la maisonnée endormie. L'enfant tout ensommeillé est si fier de suivre son grand père dans sa quête matinale. Il sait que l'attirail de pêche n'est qu'un prétexte à la méditation et qu'il importera peu qu'ils rentrent bredouilles.

jeudi 30 novembre 2017

Sur une nuit sans ornement, de René Char

René Char, c'est cet aphorisme que je me récite comme un mantra au pied des obstacles :
"L'impossible, nous ne l'atteignons pas
mais il nous sert de lanterne."

Colette est à la barre du défi n°196 des CROQUEURS DE MOTS et sa feuille de route se résume en deux mots qui englobent toute la vie : Nuit et Jour. Pour les jeudis en poésie j'ai l'embarras du choix parmi les poèmes choisis que j'ai déjà mis en ligne et la nuit m'a souvent et récemment inspiré.

mercredi 29 novembre 2017

Simon de Saint-Simon

Il y a plusieurs Saint-Simon en France. Venez avec moi en Charente, sur les rives de la Charente y faire étape pour un mercredi de récré des prénoms de JB.

lundi 27 novembre 2017

Oyez les Croqueurs ! Défi n°196 en partance chez ?? ... Colette

Ohé Matelots, cette fois-ci, sauf erreur de ma part, ce devrait être à Capitaine Domi* c'est Colette qui tient la barre de la goélette des Croqueurs de Mots pour le défi n°196



* Et donc c'était une erreur voilà

vendredi 24 novembre 2017

"Poussières d'étoiles"*

Pour la page 92 de l'Herbier de poésies sur une image proposée par Adamante

Laisser s'envoler les idées parasites.Tout doucement fermer les yeux, puis les ouvrir et les laisser peu à peu apprivoiser la nuit. Elle est rarement tout à fait noire.

jeudi 23 novembre 2017

La vie antérieure, de Charles Baudelaire

Josette à la barre du défi n°195 des CROQUEURS DE MOTS nous dit
pour "jeudi poésie" les 16 et 23 novembre je vous propose des couleurs...choisissez la votre !

J'aurais pu avec Rimbaud, décliner les voyelles en couleurs, j'espère que d'autres croqueurs le feront. J'aurais pu ...
En complément de ce poème, Blancs et noirs, tous frères, tous égaux, de Victor Hugo

Blancs et noirs, tous frères, tous égaux, de Victor Hugo

Couleurs comme fil rouge des jeudis poésies proposé par Josette dans le cadre du défi n° 195 des CROQUEURS DE MOTS.
La prise de conscience si surprenante car si tardive d'une certaine réalité de notre actualité m'a incité ce matin à compléter le poème que j'avais programmé dès que j'avais pris connaissance du sujet par la lettre écrite par Victor Hugo en 1859 à la suite de sa protestation contre la condamnation et la pendaison expéditive de John Brown, leader abolitionniste d'émeutes au Kansas.

mercredi 22 novembre 2017

Quitterie de Sainte Marie

Vous le savez maintenant, sur la piste des prénoms du mercredi je vous emmène depuis la saison précédente sur les routes de France et de Navarre et de ... Aujourd'hui Sainte-Marie. Non pas les Saintes Maries de la mer, les Pyrénées orientales ont déjà été visitées la saison dernière. Même si cette commune est la capitale de grands voyageurs.
Aujourd'hui, nous allons à Sainte Marie de la Martinique.

lundi 20 novembre 2017

Défi n°195 : Le tableau de famille

Josette à la barre du défi n°195 des CROQUEURS DE MOTS nous dit :
Je vous présente Edmond !A partir de ce tableau (vu dans une brocante) racontez une histoire courte avec les mots incorporés : "Ciel, chaussure, coq, couronne et crapaud."

jeudi 16 novembre 2017

J'écris avec l'encre, de Germaine Beaumont

Josette à la barre du défi n°195 des CROQUEURS DE MOTS nous dit
pour "jeudi poésie" les 16 et 23 novembre je vous propose des couleurs...choisissez la votre !
J'aurais pu avec Rimbaud, décliner les voyelles en couleurs, j'espère que d'autres croqueurs le feront. J'aurais pu rééditer la charmante comptine des crayons de couleurs.

mercredi 15 novembre 2017

la corneille de Saint-Corneille

Pour ce prénom du mercredi qui porte le nom d'un oiseau, je renouerai avec le fil conducteur de la récré à Bigornette tout en faisant étape dans une province de France riche d'Histoire. la grande, pas toujours reluisante et plus précisément à Compiègne, ville impériale et dans la clairière de Rethondes.

samedi 11 novembre 2017

Douceurs d'enfance

Le thème de novembre du Nid des mots à publier le samedi 11 novembre est "Caramels mous"

caramels d'enfance
se rappellent au souvenir
de mes dents gâtées

jeudi 9 novembre 2017

Signe, de Guillaume Apollinaire

Lénaïg a lancé le défi n°194 des CROQUEURS DE MOTS sous le signe du cygne et ces deux mots homonymes comme fils possibles des jeudis poésies.
Et comme je n'ai pas su choisir après Le cygne, de Sully-Prudhomme, voici réédité et de saison, Signe, de Guillaume Apollinaire

Le cygne, de Sully-Prudhomme

Lénaïg a lancé le défi n°194 des CROQUEURS DE MOTS sous le signe du cygne et ces deux mots homonymes comme fils possibles des jeudis poésies.
Et comme en bonne normande je n'ai pas trop envie de choisir, je choisis cette fois les deux, Le cygne, par Sully-Prudhomme  ci-dessous,  un poète que j'ai rappelé à votre mémoire récemment avec Le long du quai. 
J'aurais pu évoquer celui de Baudelaire adressé à Victor Hugo
et Signe, poème de Guillaume Apollinaire, que j'avais partagé avec les Croqueurs de mots en septembre 2013.

mercredi 8 novembre 2017

Sixtine des Gâtines

Fidèle à mon petit tour de France et de Navarre et quelquefois d'ailleurs avec les prénoms du mercredi de La cour de récré de JB je fais étape ...
mais pas au Vatican, même si j'aimerais admirer le plafond de Michel Ange, ni même en Avignon terre de papes en Occitanie il fut un temps.
Non, je vous invite à la table de Sixtine ... en Gâtinais.

lundi 6 novembre 2017

Défi n°194 : Signé Le Cygne

Lénaïg a lancé le défi n°194 des CROQUEURS DE MOTS sous le signe du cygne en apportant à la photo de sa coloc de blog une belle légende en prose ou en vers avec pour seule contrainte d'y inclure une citation parmi trois proposées.

jeudi 2 novembre 2017

Ponctuation ...

Lénaïg a lancé le défi n°194 des CROQUEURS DE MOTS sous le signe du cygne et ces deux mots homonymes comme fils possibles des jeudis poésies.
Ces jours autour de la Toussaint font caisse de résonance dans les medias. Certains en font la journée de leurs morts, d'autres qui apprivoisent l'absence et quelquefois le non-sens voient leur douleur, assagie par les années ou encore fragile d'une perte récente, se rebiffer sous ces tapages.
J'ai fait beaucoup de kilomètres pour aller mettre des fleurs dans des cimetières familiers. Mes pensées n'ont pas besoin d'un jour spécial mais cette période est un rituel. Et si je ne vais pas sur d'autres tombes, ce n'est pas que j'oublie celles et ceux qui y sont.
c'était au début de septembre 2010 et j'avais écrit ce poème pour L'île de Lilie qui pilotait un défi des croqueurs avec cette jolie consigne :

"Ecrire un joli conte sur les signes qui sont la respiration des phrases et du sens"

mercredi 1 novembre 2017

Toussaint, le doux du Doubs

Avec lui c'était l'ouverture. Sa vie est toute une aventure qui se termine sur la dure dans une geôle du Doubs. Voilà qui m'amène dans l'un des départements du Jura pour retrouver les traces de cet homme emblème de la lutte contre l'esclavage des noirs aux Amériques et dans des lieux qui honorent sa mémoire et ou osent regarder ce que fut l'esclavage : dans un square de Nantes, sur un quai face à Bordeaux, au Panthéon de Paris, à Lorient, Allada au bénin, à l'aéroport international Toussaint Louverture de Port-au-Prince de Haïti, ou au fronton d'écoles ou de lycées.

jeudi 26 octobre 2017

Le pied ... , de Pablo Neruda

Le corps humain en tout ou partie, tel est le fil conducteur des jeudis poésies des CROQUEURS DE MOTS pour le défi n°193 piloté par Martine depuis le Quai des rimes.
J'avais l'intention de rééditer Le nez, un blason du XVIe siècle, genre satirique à la mode à l'époque.
C'était oublier cette merveille relue hier soir car le recueil de Pablo Neruda, Vaguedivague est l'un de mes livres de chevet du moment.


mercredi 25 octobre 2017

Maine de Touraine

Poursuivant mon tour de France en prénoms du mercredi, Maine, en toute logique devait nous ramener dans le Maine où nous avons déjà fait halte. J'ai hésité à descendre la Loire vers l'aval et Nantes pour finalement aller vers l'amont, du côté de Tours, capitale de l'ancienne Touraine, au coeur du Parc Naturel Régional de Maine Anjou Touraine.

lundi 23 octobre 2017

Défi n°193 : C'est pas l'pied !

Oui je sais Ô mon capitaine, pour le défi n°193 des CROQUEURS DE MOTS Martine, depuis son Quai des Rimes, nous invite à écrire en prose ou en vers un texte ayant pour titre «Ça me fait une belle jambe » au sens propre ou celui de l'expression dont l'origine est surprenante.

Je persiste pourtant. C'était le vendredi 13 octobre dernier :

jeudi 19 octobre 2017

Le front, de Maurice Scève

Martine, à la barre du défi n°193 des CROQUEURS DE MOTS depuis son Quai des Rimes nous invitant à parler des belles gambettes invite les poésies du jeudi à célébrer le corps humain (en tout ou en partie).

L'occasion de rééditer un "blason" court poème en vogue au XVIe siècle célébrant une partie du corps humain des femmes de façon plus ou moins explicite en mode élogieux ou satirique pour ne pas dire goujat.

mercredi 18 octobre 2017

Les canards de Donald

Ben oui, incontournable le clin d’œil au célèbre emplumé de Walt Disney si l'on veut éviter les allusions d'actualité à un éléphant qui trompe énormément (mais non pas celui-ci Clic ---> ni celui-là ) :

Les prénoms de la saison 9 (liste prévue jusque fin mars)

Oui, vous avez bien lu saison 9 ! et comme je me répète de septembres en septembres :
Il y a des traditions dont on ne se lasse pas. C'est ce que j'écrivais pour ouvrir le même billet que celui-ci pour la saison 4, copié-collé en modifiant les numéros pour la saison 5, puis rebelote pour les saisons 6 et 7 et 8.
Pour la 9ème saison, la guinguette des prénoms du mercredi, créée par Bigornette, continue joyeusement sous le préau de Jill Bill, vous savez, dans  La Cour de récré de JB.

jeudi 12 octobre 2017

Les trois messes basses, de Alphonse daudet (extrait, la 2e messe)

Moi-même à la barre du défi n°192 des CROQUEURS DE MOTS, vous invitant une fois de plus à explorer le temps qui passe vous laisse libre-choix pour les jeudis / poésies ou sur les mots clés vitesse et ou lenteur.
Une fois n'est pas coutume (pour moi) et anticipant deux semaines bien chargées, je m'étais hâtée de programmer pour aujourd'hui un poème de la Renaissance que vous avez découvert jeudi dernier chez Colette "Sur ses ailes, Amour, d'un vol en pleine vitesse" deMarc PAPILLON DE LASPHRISE, recueil L'Amour passionnée de Noémie***, 1597.

mercredi 11 octobre 2017

Heures de hasard, herbes de pluie

Pour l'Herbier de poésies, sur une idée lancée avec la page 84 au début de septembre pour un édition au début d'octobre.

dimanche 3 septembre, onze heures

Bretemette de Charleville

Charleville-Mézières dans les Ardennes. D'accord cela ne rime pas avec Bretemette mais quand vous saurez que Charleville-Mézières organise tous les deux ans un festival de marionnettes de réputation mondiale, et que c'était en septembre dernier, vous comprendrez pourquoi j'y fais étape en ce mercredi des prénoms pour la Cour de récré de JB.

lundi 9 octobre 2017

Défi n°192 : "En une heure,"

Moi-même à la barre du défi n°192 des CROQUEURS DE MOTS, je vous invite une fois de plus à explorer le temps qui passe avec la consigne suivante :
"Racontez ou inventez les temps forts d'une heure de votre vie en un minimum de mots. (Idéalement au plus l'équivalent d'une dizaine de nouveaux tweets de 280 caractères)."
A titre d'exemple la consigne précédente fait 2 phrases, 28 mots et 170 caractères.
J'avais initialement l'envie de vous conter brièvement une tranche de vie récente dans la même veine qu'un des premiers billets que j'avais produit dans la blogosphère Clic ---> en septembre 2008. Mon premier jet étant beaucoup trop bavard j'ai eu ensuite l'idée de dégraisser ce vieil article. Croyez-moi, cela n'a pas été facile mais selon OpenOffice, le texte qui suit fait exactement 2796 caractères. Ouf !.

jeudi 5 octobre 2017

Saison des semailles, le soir, de Victor Hugo

Moi-même à la barre du défi n°192 des CROQUEURS DE MOTS, vous invitant une fois de plus à explorer le temps qui passe vous laisse libre-choix pour les jeudis / poésies ou sur les mots clés vitesse et/ou lenteur.
Alors pour commencer et faire suite à la chanson à grand vent du jeudi précédent, et après les labours, j'ai envie de rééditer ce poème de Victor Hugo dont je ne me lasse pas.

mercredi 4 octobre 2017

Conogan le vendéen

Poursuivons notre tour de France des prénoms en allant au pays des Chouans, ces oubliés de la révolution française instruments des aristocrates. Pas toujours cool de simplifier l'Histoire aussi je me garderai bien de remonter aussi loin et me contenterai de relayer la parole de Martine, attentive aux quinquas au chômdu.

lundi 2 octobre 2017

A l'abordage ! Le défi n°192

Me voici à la barre des CROQUEURS DE MOTS à la suite de Jill Bill pour ce défi n°192  et comme le temps est l'une de mes marottes récurrentes à ce poste, voici la feuille de route que je vous propose.

Défi  à publier sur votre blog lundi matin 09/10 :
Racontez ou inventez les temps forts d'une heure de votre vie en un minimum de mots. (Idéalement au plus l'équivalent d'une dizaine de nouveaux tweets de 280 caractères).

samedi 30 septembre 2017

Le petit dernier des Anthologies éphémères

Pour annoncer une naissance, la coutume parle de "Carnet rose"
Le dernier opus des Anthologies éphémères a une jaquette bleu clair comme le ciel et bleu turquoise comme l'océan, pour vous inviter au VOYAGE avec les quelques cent et quelques nouvelles, contes, poèmes collectés par Quichottine.


vendredi 29 septembre 2017

Danser les couleurs

Sur l'image proposée pour la page 87 de l'Herbier de poésies

Il a surgi de l'onde, œil affûté sur le monde, poisson lune ou poisson chat. Ide* d'eau douce ou raie mantra*. Il aimerait vous crier les cimetières des fonds marins. Il le dit avec ses couleurs. Il le dit avec sa danse. Il a bondi sa révérence pour épater le vidéaste. Il a enluminé la falaise, hors de son liquide primordial.

jeudi 28 septembre 2017

Chanson à grand vent 1 Le pauvre laboureur, Anonyme XVIe siècle

Jill Bill à la barre des CROQUEURS DE MOTS sous la houlette de Cap'tain Dômi pour le défi n°191, nous invite cette quinzaine à "se tuer à la tâche" en cogitant sur une citation au choix de Paris Hilton ou de Pierre Doris qui nous a dit aussi : "Je laisse au choix pour les Jeudis / poésie".
Alors j'ai eu envie de rééditer cette chanson à grand vent, il y en avait beaucoup dans les campagne, de transmission orale le plus souvent mais de temps à autre collectées et transmises jusqu'à nous, comme les chants de marins. 

mercredi 27 septembre 2017

Ute de Carquebut

Cette saison 9 des prénoms du mercredi me donnent encore l'occasion de visiter les départements et anciennes provinces de France, en mode ludique de préférence. Ange nous a fait quitter Orange (Vaucluse) pour rejoindre Ethel à Vittel ( Vosges) puis croiser le bel Adonis sur une écluse près de Nangis (Seine et Marne). Cette semaine, d'un coup de rêve, je vous emmène en Normandie et plus précisément dans la Manche, et bien au-delà jusque dans ...

lundi 25 septembre 2017

Dur dur de travailler !

Jill Bill à la barre des CROQUEURS DE MOTS sous la houlette de Cap'tain Dômi pour le défi n°191, nous invite cette quinzaine à "se tuer à la tâche" en cogitant sur une citation au choix de Paris Hilton ou de Pierre Doris.

jeudi 21 septembre 2017

Violaine, pas si vilaine, de Jeanne Fadosi

Je laisse au choix pour les Jeudis / poésie nous a dit Jill Bill désignée à la barre des CROQUEURS DE MOTS pour le défi n°191 à broder sur l'expression "Se tuer à la tâche" hardiment illustrée.
Notez que le calendrier de Dômi me désigne pour être à la barre du défi suivant dont la feuille de route sera affichée lundi 2 octobre.

mercredi 20 septembre 2017

Adonis près de Nangis

Remontons du midi de la France vers les terres généreuses du Bassin parisien irriguées par la Seine et la Marne

lundi 18 septembre 2017

Oyez les Croqueurs ! Info Coquille ...

à consulter sur le blog des CROQUEURS DE MOTS pour les prochains défis :



et si j'ai bien tout compris, c'est Jill Bill qui devrait dévoilé la destination du défi n° 191 depuis son Château "incessamment sous peu ..."

samedi 16 septembre 2017

Un instant s'il vous plait

Un chapeau, le verbe écrire, un manège de chevaux de bois, une standardiste et un cuisinier du dimanche, tels sont les ingrédients de la recette du Nid des mots de septembre.

vendredi 15 septembre 2017

Un monde foutraque

Sur l'image proposée pour la page de l'Herbier de poésies 85

Est-ce un clown triste ou joyeux ?
Un clown étonné ?
Est-ce le monde échevelé ?

jeudi 14 septembre 2017

Revenue, de Renée Vivien

Un défi n°190 pour les CROQUEURS DE MOTS proposé par Cap'tain Dômi, les mots clé VOYAGE pour le premier jeudi poésie et RETOUR pour le second jeudi poésie.

Mon choix pour le départ était lugubrement beau, dans la force de mots simples et d'un vers répété. Alors je me rattrape en vous proposant cet autre poème de Renée Vivien.

mercredi 13 septembre 2017

Ethel de Vittel

Pour cette deuxième étape des prénoms du mercredi, je serais bien volontiers restée un peu dans la douceur de l'Estérel, mais mes rêveries m'ont menées dans les Vosges, quoique ...

lundi 11 septembre 2017

Défi n°190 : Deux naissances à la Une

"Et si Jésus naissait de nos jours…
Cela donnerait la «une»  dans tous les journaux télévisés …
A vous de broder autour de cette histoire."
Telle est la consigne de notre Câpitaine Dômi pour ce défi n°190 des CROQUEURS DE MOTS qui ouvre la nouvelle saison.

vendredi 8 septembre 2017

Chronique vespérale

Pour la page 84 de l'Herbier de poésies, en mode chronique des jours de septembre aussi

Chronique vespérale.

Le linge est lavé
Le soleil encourageant
Le vent polisson

Le faire sécher sur le fil
comme pour prolonger l'été ...

Un gros nuage vient d'éteindre la lumière. J'implore le ciel de retenir la pluie. Le vent m'a-t-il écouté ? Le soleil fait de nouveau fête. J'aime sa caresse tiède sur ma vieille carcasse. Jusqu'aux prochains nuages. A nouveau un plafond bas. Teinté d'un gris monotone. Le vent frais joue les balançoires. Sur le fil les vêtements dansent.
Ô ciel ! Retiens encore une heure, juste une heure, les larmes de pluie qui s'évaporent de leurs fibres parfumées d'herbes et de liberté.
Instants au présent
Rémanences d'étés d'antan.
Temps de l'insouciance.

Goûter l'instant...
Impossible pourtant d'oublier que là-bas, loin vers l'ouest, un ouragan se déchaîne.
Difficile, dans le silence des jours, de réaliser que là-bas, loin vers l'est, les pluies de la mousson noient tout sur leur passage.
©Jeanne Fadosi, mercredi 6 septembre 2017
à découvrir avec les autres brins sur la page 84 de L'Herbier


jeudi 7 septembre 2017

Départ, de Renée Vivien

Un défi n°190 pour les CROQUEURS DE MOTS proposé par Cap'tain Dômi que je vous laisse découvrir et le mot clé VOYAGE pour le premier jeudi poésie.
J'avais programmé la nième réédition des berceaux, romance de Gabriel Fauré sur un poème de Sully-Prudhomme Le long du quai quand j'ai découvert celui-ci lors de mes recherches pour le jeudi d'après sur le retour. Il m'a paru tellement évident que le poème de Renée Vivien en est inconsciemment l'écho et la réponse. Ou l'inverse.

DÉPART
J’ai vu s’éteindre en moi le brûlant désespoir…
Ma bouche cessera de ravager ta bouche,
Je ne connaîtrai plus les veilles sur la couche
De la moite Insomnie et du Désir farouche,
Car la Mer et la Mort me rappellent, ce soir…
La nuit vient assombrir tes cheveux d’asphodèle,
Et les chauves-souris ont frappé de leur aile
Bleue et longue ma porte où l’ombre vient pleuvoir…
J’ai fait taire mon cœur que l’angoisse martèle,
Car la Mer et la Mort me rappellent, ce soir…
Renée Vivien, évocations, 1903


Renée Vivien, dite "Sapho 1900", 1877 - 1909, poétesse britannique d'expression française, courant parnassien de la Belle époque

Le long du quai, de Sully Prudhomme

Nouvelle réédition pour le défi n°190 des CROQUEURS DE MOTS dont le mot clé du premier jeudi en poésie est "Voyages" de ce poème appris à l'école élémentaire et dont j'ai découvert la romance mis en musique par Gabriel Faure à la radio quand Yves Montand l'a repris. A l'époque je la connaissais par coeur et je me vois encore la chanter du mieux possible dans la cour de notre maison.

Précédente réédition du 11 juin 2015 pour le défi n°147  où ABC conviait les CROQUEURS DE MOTS à coiffer leur béret de matelot, docile ou rebelle tout en nous encourageant à retrouver la terre ferme pour les jeudis en poésie. Je m'autorisais à rééditer pour la troisième fois (au moins) ce poème pour ceux qui partent et ceux qui restent à quai.

réédition de mon billet du 25 septembre 2014 (première mise en ligne 24 juin 2010)
Evasion, tel était le fil conducteur du défi n°130 proposé par Lenaïg pour les CROQUEURS DE MOTS et pour le 2e de ses jeudis en poésie, on peut s'évader en suivant des yeux la ligne d'horizon.

Le long du quai

Le long des quais les grands vaisseaux, 
Que la houle incline en silence, 
Ne prennent pas garde aux berceaux
Que la main des femmes balance.

Mais viendra le jour des adieux ; 
Car il faut que les femmes pleurent 
Et que les hommes curieux 
Tentent les horizons qui leurrent.

Et ce jour-là les grands vaisseaux, 
Fuyant le port qui diminue, 
Sentent leur masse retenue 
Par l'âme des lointains berceaux*.
Sully Prudhomme, Mélanges, Stances et poèmes, 1865

Ce poème a été mis en musique par Gabriel Fauré. le dernier vers y est doublé.

Vous connaissez peut-être l'interprétation de Yves Montand, voici une autre interprétation tout en délicatesse

Les Berceaux de Gabriel Fauré - Isabelle Sacquet accompagné de Madoka Huitric

et j'aime aussi énormément celle de Jose van Dam, Les berceaux de gabriel Fauré)

SULLY PRUDHOMME, poète et écrivain français, 1839 - 1907
Gabriel Fauré, pianiste et compositeur français, 1845 - 1924
Pour prolonger ---> (rien n'a changé ou alors en pire) ...

l'Hermione à son départ pour l'Amérique, 23 avril 2015
Preuve tangible et vivante par l'équipage de cette nouvelle Hermione que les humains savent pourtant porter jusqu'au bout de bien beaux rêves

Personne dans mon entourage de l'autre côté de l'Atlantique mais vous pouvez retrouver l'arrivée de l'Harmione ICI (Sud-Ouest) ou ICI (Libération)

Pour mémoire,

L'Hermione en image 3D présentée sur le chantier
de la frégate de reconstitution de celle de La Fayette

L'Hermione en construction (telle que je l'avais photographiée en 2009)









Et 17 ans de passion et de travail soutenu dans l'enthousiasme pour aboutir.

mercredi 6 septembre 2017

Ange d'Orange

C'est la rentrée à La cour de récré de JB, et comme je le répète chaque année, on ne change pas une formule qui fonctionne si bien et enchante les petit(e)s élèves buissonnières.

Comme je vous le disais en récapitulant mes participations de la saison 8 par départements, il me reste encore bien des zones blanches à visiter en France, sans oublier aussi l'Outremer.
Voici donc ...

Ange d'Orange

Avec son casque d'or et sa gueule d'ange
Il ne pouvait pas être né ailleurs.
De ses parents ils faisaient le bonheur.
Ils le gratifièrent du doux prénom d'Ange.
Né à l'ombre du Théâtre antique
Dans son berceau déjà poussait la ritournelle
Sa maman le berçant de farandoles et tarentelles.
Il fut vite doué pour le chant lyrique.
Oui mais voilà, l'été, descendant en Camargue
Il s'éprit comme il se doit de l'Arlésienne
Aussi belle et mystérieuse qu'une martienne.
L'air du temps les chiffonnant à Orange,
Ils décidèrent tous deux de se faire la malle
en devenant des enfants de la balle.

Orange, Vaucluse, capitale de l'ancienne Principauté d'Orange, Comté de Provence (marquisat de Provence), ville stratégique sur le grand axe de circulation qu'est le Rhône, a une histoire ancienne, dense et complexe.




Bizet, L'Arlésienne, Farandole


Bizet, Tarentelle (danse traditionnelle d'Italie du Sud)

Georges Bizet, 1838 - 1875, compositeur français auteur de Carmen l'un des opéras les plus connus et les plus joués dans le monde
L'Arlésienne, de Georges Bizet musique de scène pour le drame en 3 actes de Alphonse Daudet
L'Arlésienne, une des nouvelles des Lettres de mon Moulin de Alphonse Daudet
Alphonse Daudet, 1840 - 1897, écrivain et auteur dramatique français

Mes prénoms saison9 ; Mes prénoms saison8 ; Mes prénoms saison7 ;
Avec un salut amical spécial à  Bigornette , 
Présidente d'honneur de La cour de récré de JB

jeudi 24 août 2017

Youth, de Samuel Ullman

"On ne devient pas vieux pour avoir vécu un certain nombre d'années : on devient vieux parce qu'on a déserté son idéal. Les années rident la peau ; renoncer à son idéal ride l'âme."

Oui j'ai promis de vous faire part de mes réflexions sur le poème La conscience de Victor Hugo. Les ordonner s'avérait complexe, j'en avais bien conscience. Mais le plus compliqué et de traduire en mots ce qui est intuitions de fil en fil.
J'ai été plus prudente concernant le poème suivant.

lundi 14 août 2017

La conscience, de Victor Hugo

Parmi mes rendez-vous récurrents, ceux des CROQUEURS DE MOTS ont pris leurs quartiers d'été de façon radicale cette année, dans le silence joyeux ou besogneux de ses participants.
D'habitude, je maintiens le fil de parution de poésies choisies. Cette année j'ai privilégié le décrochage informatique.
Si je publie  ce poème de Victor Hugo, c'est que je l'ai évoqué dans mon billet précédent, dans son intégralité en espérant qu'il sera lu en son entier. Lu et médité. Lu et relayé de réflexions. Je vous ferai part des miennes dans un billet à suivre --->

dimanche 13 août 2017

L’œil, encore

Pour l'Herbier de poésie d'été sur une photo de Susi S proposée par Adamante vers la fin de juillet

"L’œil était dans la tombe et regardait Caïn"

mardi 1 août 2017

Une femme libre, éternellement ?

"Une (certaine) incarnation de la liberté" Eternelle, eMmA --->

J'ai écrit le titre d'abord sans point d'interrogation. Et puis il a fallu que j'ai malgré tout la curiosité de lire l'article de Gala, dupée par son titre me faisant croire qu'il était de son fils. Mais non. C'était juste une petite phrase ...
Mais j'ai été surprise d'y trouver de la profondeur sinon de la réflexion.   Et une occasion de m'interroger sur le "phénomène médiatique" : Je reviendrai sur ce point d'interrogation

mercredi 26 juillet 2017

Je demande le silence, de Pablo Neruda

En hommage à tous ceux qui tombent sous la faux de la faucheuse, qu'elles ou ils aient eu le temps de vivre, violemment ou lentement, victimes de bourreaux ou de la maladie. Ou d'un accident..

26 juillet 2010, ma petite nièce avait abandonné la lutte mais ses proches y croyaient encore.
J'y croyais encore : Dis-lui --->

lundi 24 juillet 2017

Miro et mon Parrain, pour Mil et Une

Réédition pour miletune d'un billet du 16 avril 2016 pour le Nid des mots

Mon parrain, j'en ai déjà parlé dans les premiers temps de mon premier blog. Il a enchanté les vacances de mon enfance et chaque image de jeux de baladins m'y renvoie inévitablement ainsi qu'au tout début des années 1980 où j'ai manqué l'occasion de le voir une dernière fois.

vendredi 21 juillet 2017

Petite Mère

Il y a tout juste cent ans, ta maman, ton frère, tes sœurs avaient sans aucun doute réussi des petits miracles d'imagination et d'ingéniosité pour que ton anniversaire soit une fête malgré la guerre au loin et ici les restrictions terribles de tous les instants.
Sept ans, l'âge de raison, c'est une date qui se marque. La fillette gaie, vive et timide que j'imagine allait, accompagnée de ses grandes sœurs, écouter les concerts qui se donnaient le dimanche sous le kiosque à musique du square.

jeudi 20 juillet 2017