Chaque jour je n'oublie pas Anne-Sophie et ses compagnes d'infortune de 145 en 2010 à 94 ou 103 ou 134 selon les sources en 2023

(clic sur le lien pour comprendre ... un peu)

jeudi 29 novembre 2018

Feuilles d'automne, de Jean Moreas

"Beauté de la nature", tel est le fil d’Ariane proposé par Colettedc pour le premier jeudi poésie du défi n°213 des CROQUEURS DE MOTS, et comme je n'ai pas pu choisir, je vous propose aussi ce poème

Feuilles d'automne

L'automne, de Lucie Delarue-Mardrus

Colettedc, pour le défi n°213 des CROQUEURS DE MOTS met Novembre au centre de notre jeu et pour les jeudis poésie, le 29 novembre "beauté de la nature" et le 6 décembre "dépouillement de la nature".
Par facilité autant que par curiosité, j'ai requis "automne" dans mon premier blog. J'y ai fait une ample moisson de poèmes avec son corollaire, une grande difficulté à choisir.
J'ai alors suivi mon coup de coeur découverte de septembre 2010 parmi un florilège de poèmes sur l'automne qui méritent le détour et de prendre quelques instants pour les déguster.

mercredi 28 novembre 2018

Arnulf

Petite séance de rattrapage pour les prénoms du mercredi grâce à Jamadrou qui m'a rappelé cette chanson de 1964 ou 1965 qui a été reprise ente autres par Christine Sèvres (la femme de Jean Ferrat) ou Marc Ogeret (que l'on connait plus pour ses reprises des chansons d'Aragon par Léo Ferré ou des chants populaires ou révolutionnaires.

vendredi 23 novembre 2018

jeudi 22 novembre 2018

Saisir l'instant, de Esther Granek

Lénaïg à la barre du défi n°212 des CROQUEURS DE MOTS nous invite pour le second jeudi en poésie du défi à partager "la saveur de l'instant présent".
Un instant que Esther Granek a si bien sublimé dans un poème que j'avais mis en ligne en avril 2011 lors d'un défi où je tenais la barre pour illustrer le temps.
publication en instance d'autorisation

Saisir l’instant

mercredi 21 novembre 2018

Pitère en Isère

J'avais pas fait attention à la liste des prénoms du mercredi. Avec Patère, j'aurais pu rester dans le Cher. Allons plutôt se ressourcer loin des bruits du monde au fin fond de l'Isère.

Pitère fabriquait des patères
entre deux pater
avec du bois de sa terre
une forêt en Isère

lundi 19 novembre 2018

Défi n°212 "Les murs ont des oreilles"

Lénaïg à la barre des CROQUEURS DE MOTS pour le défi n°212 nous propose ceci :
Coucou les Crôqueurs de mots, me voici à la barre du navire pour la quinzaine par la grâce de l'amirale Dômi.
Alors, pour le défi du lundi 19 novembre, je nous présente deux photos de Street Art, ou Art de la rue, dont nous pourrons disposer à notre guise, ou en choisir une autre, ou ne pas mettre d'image du tout MAIS le défi va consister à écrire une petite histoire en y incluant au moins l'une des propositions suivantes :
un regard bizarre,
les murs ont de grandes oreilles,
la chance me sourit.

samedi 17 novembre 2018

Contemplation

Pour le nid des mots de novembre
Prochain thème, à publier chez vous le samedi 17 novembre :
"Je me suis assis devant ce tableau..."

jeudi 15 novembre 2018

Pourquoi écrire un poème, de Cécile Coulon

Lénaïg à la barre du défi n°212 des CROQUEURS DE MOTS nous invite pour le premier jeudi en poésie sur "Les joies de la découverte".
Quelle bonne idée que cette suggestion pour une fois que j'entends de la poésie et une poétesse, jeune, invitée un lundi matin sur ma radio de grande écoute à l'occasion du prix Apollinaire qui va lui être remis le soir même et qui m'a ravi les oreilles ce matin-là.

J'aimerais avoir sous les yeux le texte du poème qu'elle a écrit et lu en exclusivité pour l'émission Boomerang de France Inter

mercredi 14 novembre 2018

Ugolin au bord du Colin

Cette semaine, mon petit tour des prénoms du mercredi fait étape dans le Cher et plus précisément dans le Berry cher à George Sand et à sa Mare au diable et à Alain Fournier dans le Grand Meaulnes

Au fond de son jardin
passe le Colin
plus ruisseau que rivière
marais en ses lisières.

vendredi 9 novembre 2018

Le destin de la forêt amazonienne


1963
Je me souviens de l'un de mes premiers livres documentaires que j'ai lus en entier avec l’intérêt mêlé de la part d'aventure et d'exotisme qui me fascinaient tout en me glaçant d'effroi, tel les rites supportés pour passer de l'enfance à l'âge adulte.

Le sentier perdu

Pour la page 124 de l'Herbier de poésie

Au pays des arbres
de la forêt des merveilles
toute une vie respire

jeudi 8 novembre 2018

Poème d'amour, de Renée Vivien

Josette depuis sa cachette est à la manœuvre du défi n°211 des CROQUEURS DE MOTS.
Pour le premier jeudi poésie elle suggère le thème d'une porte, toutes les portes sont possibles... 
et pour le second celui d'une fenêtre quelle soit ouverte ou fermée ! 
apparté : j'ai programmé ce billet lundi matin, avant d'apprendre l'effondrement d'immeubles soi-disant non habités de Marseille. Sauf que dès ce moment, j'ai entendu sur France Inter une voisine dire à un journaliste que "Si" il y avait des gens, au moins un monsieur qui ne sortait jamais de chez lui et dont elle s'était même plaint car il la matait depuis sa fenêtre. Et la voisine a insisté pour que l'on se préoccupe d'éventuels survivants, sans aigreur.
Alors j'imagine que ce monsieur sans vie sociale l'avait peut-être observé en se récitant le poème de Renée Vivien.

mercredi 7 novembre 2018

Lucette de l'Île des Pins

J'arrive encore tard pour mettre en ligne pour demain un brouillon commencé avant mes réparages des yeux. J'avais envie de vous emmener faire un tour du côté d'un bout du monde dont la population se prononçait dimanche dernier par référendum pour ou contre l'indépendance.

Lucette de l'Île des Pins

lundi 5 novembre 2018

Défi n°211 Vernissage

Ohé du bateau...
Cette quinzaine le navire touche terre ... car
vous avez reçu une invitation à un vernissage, avec un  ami  ...
Ravie ou outrée vous partagez vos impressions devant les premières œuvres exposées...et mieux si vous insérez 2 expressions contenant le nom d'un animal !

jeudi 1 novembre 2018

Les pauvres gens, de Victor Hugo (extraits)

Josette depuis sa cachette est à la manœuvre du défi n°211 des CROQUEURS DE MOTS.
Pour le premier jeudi poésie elle suggère le thème d'une porte, toutes les portes sont possibles... 
et pour le second celui d'une fenêtre quelle soit ouverte ou fermée ! 
J'ai tout de suite pensé, allez savoir pourquoi, à cet extrait du long poème de Victor Hugo, Les pauvres gens, où la porte n'y est pas écrite mais suggérée comme un gage de confort et de protection. Je m'aperçois d'ailleurs que je n'ai jamais partagé ces vers pourtant recopié dans les toutes premières pages de mon anthologie personnelle d'adolescente.
En voici un autre extrait où il est question d'une autre masure et d'une autre porte qui ne joue plus son rôle.