Chaque jour je n'oublie pas Anne-Sophie et ses compagnes d'infortune

145 en 2010 ; 122 en 2011 ; 148 en 2012 ; 121 en 2013 ; 118 en 2014 ; 122 en 2015, 123 en 2016, encore 123 en 2017, 121 en 2018 ? 101 femmes depuis le 1e janvier 2019 en France (2 septembre 2019) , soit une femme tous les deux jours ! accélération ou meilleure visibilité ?

(clic sur le lien pour comprendre ... un peu)

jeudi 24 août 2017

Youth, de Samuel Ullman

"On ne devient pas vieux pour avoir vécu un certain nombre d'années : on devient vieux parce qu'on a déserté son idéal. Les années rident la peau ; renoncer à son idéal ride l'âme."

Oui j'ai promis de vous faire part de mes réflexions sur le poème La conscience de Victor Hugo. Les ordonner s'avérait complexe, j'en avais bien conscience. Mais le plus compliqué et de traduire en mots ce qui est intuitions de fil en fil.
J'ai été plus prudente concernant le poème suivant.

lundi 14 août 2017

La conscience, de Victor Hugo

Parmi mes rendez-vous récurrents, ceux des CROQUEURS DE MOTS ont pris leurs quartiers d'été de façon radicale cette année, dans le silence joyeux ou besogneux de ses participants.
D'habitude, je maintiens le fil de parution de poésies choisies. Cette année j'ai privilégié le décrochage informatique.
Si je publie  ce poème de Victor Hugo, c'est que je l'ai évoqué dans mon billet précédent, dans son intégralité en espérant qu'il sera lu en son entier. Lu et médité. Lu et relayé de réflexions. Je vous ferai part des miennes dans un billet à suivre --->

dimanche 13 août 2017

L’œil, encore

Pour l'Herbier de poésie d'été sur une photo de Susi S proposée par Adamante vers la fin de juillet

"L’œil était dans la tombe et regardait Caïn"

mardi 1 août 2017

Une femme libre, éternellement ?

"Une (certaine) incarnation de la liberté" Eternelle, eMmA --->

J'ai écrit le titre d'abord sans point d'interrogation. Et puis il a fallu que j'ai malgré tout la curiosité de lire l'article de Gala, dupée par son titre me faisant croire qu'il était de son fils. Mais non. C'était juste une petite phrase ...
Mais j'ai été surprise d'y trouver de la profondeur sinon de la réflexion.   Et une occasion de m'interroger sur le "phénomène médiatique" : Je reviendrai sur ce point d'interrogation