Pour le second jeudi poésie du défi n°215 des CROQUEURS DE MOTS, ABC nous demande de choisir un poème qui évoque un de nos objets préférés.
Dans mes premières années de blogueuse, j'ai puisé( et je continue à le consulter et le relire régulièrement) souvent mes poésies choisies dans mon anthologie personnelle tenue dans mon adolescence et il m'est aussi arrivé de partager avec vous une chanson transcrite de sa main dans le cahier noir de mon père.
Il m'arrive toujours d'écrire dans des cahiers plutôt que sur le clavier de mon ordinateur. Alors ces objets, peut-être en voie de disparition, vous comprenez que le poème de Maurice Carême* me touche.
Chaque jour je n'oublie pas Anne-Sophie et ses compagnes d'infortune de 145 en 2010 à 94 ou 103 ou 134 selon les sources en 2023 (clic sur le lien pour comprendre ... un peu)
jeudi 31 janvier 2019
mercredi 30 janvier 2019
Crystal de Laval
Ma ronde des prénoms du mercredi a sillonné quelque temps l'Île de France et ses départements redécoupés en 1964 pour une application à partir du 1er janvier 1968. Avec Crystal, la tentation était grande de retourner en Mayenne, visitée avec Irène la première année de ma ronde des prénoms en France, cette fois pour aller à Laval, une ville que je connais un peu pour y avoir habité quelques années dans ma jeunesse.
Une ville à partir de laquelle on peut aller tout autour de la terre, en vrai comme dans l'imaginaire.
Une ville à partir de laquelle on peut aller tout autour de la terre, en vrai comme dans l'imaginaire.
lundi 28 janvier 2019
défi n°215 : "Qui suis-je ?"
Le défi n°215 des CROQUEURS DE MOTS proposé par ABC nous propose ceci :
"Qui suis-je ?"
Écrivez une phrase qui parle de vous, sans vous décrire, mais à travers laquelle, ceux qui vous connaissent, à coup sûr vous reconnaîtront, (pas de nom, pas d'âge, pas de lieu d'habitation...), exemple Domî pourrait écrire :
vendredi 25 janvier 2019
L'homme au regard flou
Pour la page 133 de l'Herbier de poésie
Naguère vous l'auriez rencontré dans les allées des baraques d'une foire ou à la sortie de Mirapolis, faisant chanter son orgue de barbarie ou proposant pour quelques sous un ballon de baudruche, ou encore près d'un cirque itinérant, promenant les gosses sur le dos d'un poney ou d'un lama fatigué.
jeudi 24 janvier 2019
Le long des quais, de Sully Prudhomme
ABC à la barre du défi n°215 des CROQUEURS DE MOTS nous suggère pour le premier jeudi une poésie que vous aimez et que vous pouvez écrire de tête
Alors sans tricher celui que je me propose de partager avec vous est celui dont je me souviens le mieux. Je colle si après ce que j'ai écrit de tête. Désolée pour les majuscules et la ponctuation. Vous pourrez retrouver Ici ---> Clic le poème tel qu'il a été publié par l'auteur.
Alors sans tricher celui que je me propose de partager avec vous est celui dont je me souviens le mieux. Je colle si après ce que j'ai écrit de tête. Désolée pour les majuscules et la ponctuation. Vous pourrez retrouver Ici ---> Clic le poème tel qu'il a été publié par l'auteur.
mercredi 23 janvier 2019
Siméon, caméléon à la Conception
Un titre énigmatique pour mon prénom de ce mercredi. Alors j'indique tout de suite que nous allons à Marseille au début du XXe siècle avec un personnage pour le moins contrasté dont j'aurais bien aimé qu'il conservât sa jeune générosité au lieu de tourner le dos à ses valeurs par la suite. Trop tard maicresse Jill pour le réformer là où il est, mais si au moins on pouvait ne pas oublier ...
lundi 21 janvier 2019
Oyez les CROQUEURS DE MOTS ! Défi n°215 énoncé chez ABC
Oui, oui, c'est bien ABC qui a pris courageusement la barre des CROQUEURS DE MOTS pour le défi n°215. Allez vite découvrir la feuille de route de la quinzaine qui démarre !
vendredi 18 janvier 2019
Femme en bleus
Pour la page 132 de l'Herbier de poésie
Le bleu s'insinue d'abord par traces, dans l'ombre de mots, de phrases insidieuses, dans l'intonation ironique. Un regard qui contredit le compliment de la première.
Le bleu s'insinue d'abord par traces, dans l'ombre de mots, de phrases insidieuses, dans l'intonation ironique. Un regard qui contredit le compliment de la première.
jeudi 17 janvier 2019
Lumière d'hiver, de Jeanne Fadosi
Fanfan nous a fait rédiger une lettre de motivation pour avoir un emploi, c'est fait, je ne suis pas sûre d'être embauchée quand même, les poètes ne font pas partie de personnes dites nécessaires à la planète.
mercredi 16 janvier 2019
Julienne entre Seine et Seine
Pour mon petit tour des prénoms, restons encore une semaine dans la région parisienne en visitant un tout petit coin de l'Essonne.
lundi 14 janvier 2019
Défi n°214 Fanfan recrute
Fanfan à la barre du défi n°214 des CROQUEURS DE MOTS nous a donné la consigne suivante :
Nous allons écrire une lettre pour demander un emploi (sorte de lettre de motivation) , en prose, en vers, en image , comme on veut. Mais il faudra convaincre le futur employeur.Comme je le lui ai dit en commentaire, la dernière fois que nous avons chanté des chansons d'Aznavour, le lendemain il se réfugiait direct au paradis, alors j'ai choisi des titres de chansons de Boris Vian, (qui ne craint plus mes couacs puiqu'il y est déjà) qu'il a chanté lui-même ou qu'il a écrit pour d'autres interprètes
Dans cette lettre, il faudra “incorporer”, pour que la mayonnaise tienne, des titres de chansons .
Elle a choisi Aznavour (Si on déteste on peut choisir des titres d’un chanteur qui nous convient )
samedi 12 janvier 2019
Ruptures
Poème réédité pour Le nid des mots de janvier de ABC dont la seule consigne est ces trois mots "Vie Amour Mort".
Je l'avais écrit pour le défi n°96 piloté par Lilou en 2013 et réédité pour un jeudi poésie de 2016 piloté par Dômi. Dans les deux cas, le mot clé était "rupture" à envisager dans un mode positif ou du moins souriant.
Je l'avais écrit pour le défi n°96 piloté par Lilou en 2013 et réédité pour un jeudi poésie de 2016 piloté par Dômi. Dans les deux cas, le mot clé était "rupture" à envisager dans un mode positif ou du moins souriant.
vendredi 11 janvier 2019
L'effet papillon
Pour la page 131 de l'Herbier de poésie
L'effet papillon
un dessin candide
redonne goût au sourire
dansant les couleurs.
jeudi 10 janvier 2019
Claire fontaine, de Nérée Beauchemin
Fanfan à la barre des CROQUEURS DE MOTS pour le défi n°214 ou 215 (il va falloir l'autorité de l'âmirale Dômi a tranché pour lever cette incertitude) veut nous mettre au turbin (même les retraités comme elle et moi ! si si ! ) et ce malgré l'hiver, le froid ... et l'envie de rester au coin du feu qu'elle nous somme de glorifier en chanson ou en poème pour les deux jeudis de poésie.
Alors voilà, pour le premier jeudi, je suis allée chercher un poème de l'hiver canadien, me souvenant vaguement d'un Beauchemin dont j'avais lu quelques vers lors de la visite dans ma bourgade de lointains descendants québécois de percherons.
Alors voilà, pour le premier jeudi, je suis allée chercher un poème de l'hiver canadien, me souvenant vaguement d'un Beauchemin dont j'avais lu quelques vers lors de la visite dans ma bourgade de lointains descendants québécois de percherons.
mercredi 9 janvier 2019
Fiacre et Léon
Dans ma tournée des prénoms du mercredi faisant étape en ce moment en Île-de-France, la tentation est grande de le domicilier dans l'un des patelins dénommés Saint-Fiacre. Fastoche ! il y en a même un en Seine-et-Marne à 10 kilomètres au sud-est de Meaux.
Laissez-moi plutôt Yvette Guilbert vous en conter sa dernière promenade dans les grandes rues du Paris des années 1900
Laissez-moi plutôt Yvette Guilbert vous en conter sa dernière promenade dans les grandes rues du Paris des années 1900
dimanche 6 janvier 2019
Oyez Les croqueurs de mots ! défi n°214 à l'approche chez Fanfan
Billet recyclé
Annonce défi suivie de la récap des sujets de 2018
Annonce défi suivie de la récap des sujets de 2018
jeudi 3 janvier 2019
La cane de Jeanne, de Georges Brassens
Pendant la pause des CROQUEURS DE MOTS, l'envie de me souvenir de Brassens et de Jeanne Planche qui l'héberge pour échapper à la Gestapo et chez qui il restera 22 ans.
Quand on me plonge dans l'univers de Georges Brassens, on me trouve chantant sans souci du qu'en dira-t-on haute comme trois pommes comme maintenant et vous l'aurez voulu, la cane de Jeanne, je la connais encore par coeur.
Quand on me plonge dans l'univers de Georges Brassens, on me trouve chantant sans souci du qu'en dira-t-on haute comme trois pommes comme maintenant et vous l'aurez voulu, la cane de Jeanne, je la connais encore par coeur.
mercredi 2 janvier 2019
Sofonisba d'Yeur et d'Ici-bas
Franchement Jill, le prénom de ce mercredi, je ne sais où tu l'as trouvé, me fait penser à cette expression saugrenue dont je ne connaissais même pas la signification et qui en ces temps de repli sur soi m'interpelle d'autant plus : "avoir un nom à coucher dehors".
C'est pourquoi, revenant de la voie lactée visitée la semaine dernière, j'ai envie de vous balader un peu avant de revenir par ici.
C'est pourquoi, revenant de la voie lactée visitée la semaine dernière, j'ai envie de vous balader un peu avant de revenir par ici.
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