aparté, petit rappel, je suis dans l'impossibilité à cause d'un bug de déposer des commentaires sur les blogs de Blogger. Vous m'en voyez désolée.
Avec Jill Bill à la barre pour la première édition de la nouvelle formule des CROQUEURS DE MOTS :
Thème d'après cette photo, Commencez votre écrit par « I'm literally Gobsmacked » (Sans voix, bec cloué)
Dans un texte court et amusant Dites ce que vous pensez du dernier achat artistique De votre amie Sigourney pour cet "alien"...
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Photo JB (Prise à Gruyère, Suisse 2023) |
« I'm literally Gobsmacked »
J'en perd mon latin, français !
Euhhh !!! Ehhh !!! Hein ???
annonçant sa disparition !
arrogant dans son pur jus.
Ce vilain temps me hérisse.
Tu veux ou tu veux pas l'amie ?
Moi je préfère la douceur
qui n'est pas forcément pudeur
mais respect de l'altérité.
quand on dit non c'est NON !!!
©Jeanne Fadosi , mardi 9 janvier 2024
en écho à
Mais qu'est-ce qu 'i 'm ' jacte l' cul bénit ?
Pourrait s' montrer tout nu qu'i' m' f 'rait aucun effet !
Encore un qui s' la joue tartuffe !
moi qui pensais pouvoir sortir enfin du cadre
et mett' les voiles où j' pense !
Brrrrr ! On s' les gèle ici !
©Jeanne Fadosi , lundi 1er février 2016
pour l'herbier de poésie 32
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Nu, d'arnaud Bouchet |
sur ce tableau de Arnaud Bouchet, sublime où le peintre a su sublimer un corps de femme, loin des hallucinations sous acide du collaborateur des Alien
Quelques explications à cet assemblage :
Vous avez dit "bizarre" ? Comme c'est bizarre !
A la découverte du sujet de Jill et après la curiosité envers l'auteur de cette étrange sculpture, j'ai selon mes habitudes fait quelques requêtes à la recherche d'écrits de mon cru pouvant y être associés
J'ai requis alien : Aucun article correspondant à la requête : alien.
J'ai requis téton : Aucun article correspondant à la requête : téton.
J'ai requis sein : Affichage des articles triés par pertinence pour la requête sein. il y en a 17
MÉDITATION QUATORZIÈME.
LA FOI.
O néant ! ô seul Dieu que je puisse comprendre !
Silencieux abîme où je vais redescendre,
Pourquoi laissas-tu l’homme échapper de ta main ?
De quel sommeil profond je dormais dans ton sein !
Alors là, j'ai trouvé une image et un texte faisant un écho à la sculpture bizarre proposée par Jill, comme une traversée du miroir, mais dans l'autres sens.
Mais l'aveugle Fortune a de bizarres lois :
Je suis comme un jouet en ses volages doigts,
Et les quatre Éléments me font toujours la guerre.
Souvent l'Air orageux traverse mon dessein,
L'Onde s'enfle à tous coups pour me crever le sein
Je dois craindre le Feu, mais beaucoup plus la Terre
Et, lorsque dans son sein la Nature des choses
Formera mes destins futurs,
Reviens baigner, reviens nourrir de tes flots purs
Mes nouvelles métamorphoses.
et dans la foulée, signature et seing et sceau et sein et sain et saint. Ou songe et singe et singulier
Mais laissez l’espace entrer au sein de votre union.
Et que les vents du ciel dansent entre vous.
Aimez-vous l’un l’autre, mais ne faites pas de l’amour une chaîne.
Laissez-le plutôt être une mer dansant entre les rivages de vos âmes.
Tu verras bien dessous mon sein
S'arrondir enfin ma bedaine ;
C'est maintenant plus qu'un dessein.
Un papier rose à découpures,
Comme un sein blanc sous des guipures.
Voile à demi
Le globe laiteux de la lampe
Quoi de plus naturel, après l'avoir évoqué pour Adamante Couvrez ce sein ! que de laisser le jeune poète le déshabiller sous sa plume ... S'égrenant dans son cœur, Saint Tartufe était pâle !...
Donc, il se confessait, priait, avec un râle !
L'homme se contenta d'emporter ses rabats...
- Peuh ! Tartufe était nu du haut jusques en bas !
Pendant qu'il sommeillait, Ruth, une moabite,
S'était couchée aux pieds de Booz, le sein nu,
Un futur tenant à un fil, d'une traversée périlleuse, il tète avide un sein triste, puisant les dernières forces vives dune fillette devenue trop tôt femme, tandis que depuis des semaines, la barque erre sans boussole rejetée de ports en terres.
Sur une gamme chromatique,
Le sein de perles ruisselant,
La Vénus de l’Adriatique
Sort de l’eau son corps rose et blanc.
les amoureux de Peynet rêvent leur futur, sans se soucier des écueils, ni de l'immense oiseau bleu comme la nuit qui souffle sur les braises de leur sommeil. En son sein, l'oisillon se devine.
D'ici quelques brèves semaines,
Tu verras bien dessous mon sein
S'arrondir enfin ma bedaine ;
Je me souviens pourtant de cette femme, était-elle jeune ? sans doute, qui regardait les tableaux et les photos tout en donnant le sein à son bébé avec naturel et simplicité. La scène m'avait touchée et j'avais apprécié cette liberté sobre et sereine. Rien d'érotique dans son geste qui lançait un pont entre la modernité et la tradition des temps premiers.
Les roberts, oui les roberts Zaza ! Cette expression argotique du XIXe siècle tire en fait son nom de l'inventeur des biberons modernes Edouard Robert Clic --->Par quels méandres les tétines de biberons sont-elles devenues des seins de femmes et non de nourrices ? Mystère !