Chaque jour je n'oublie pas Anne-Sophie et ses compagnes d'infortune

145 en 2010 ; 122 en 2011 ; 148 en 2012 ; 121 en 2013 ; 118 en 2014 ; 122 en 2015, 123 en 2016, encore 123 en 2017, 121 en 2018 ? 101 femmes depuis le 1e janvier 2019 en France (2 septembre 2019) , soit une femme tous les deux jours ! accélération ou meilleure visibilité ?

(clic sur le lien pour comprendre ... un peu)

vendredi 30 juillet 2021

Mes prénoms de l'été : F comme Fabienne

 Avec Fabienne, je fais évidemment un clin d'œil à la maîtresse d'école de la Cour de récré de JB alias Jill Bill dont c'est le prénom. Il se trouve que c'est aussi le mien depuis ... ma naissance, il y a sept ... décennies. 

Que j'aie hérité de ce prénom n'est pas une énigme puisque c'est le prénom de ma maman. Selon mes sœurs aînées, c'est un désaccord sur le choix du prénom, choix difficile entre les parents et mes nombreux frères et sœurs. De façon pragmatique, je crois plutôt que c'est le décès de ma grand-mère Jeanne au printemps qui a en partie déterminé la suppression du prénom qui faisait polémique et le glissement des autres prénoms. Celui de ma mère est donc passé en premier suivi de celui de ma marraine pour y ajouter en troisième celui de Jeanne. A l'époque, pour des raisons essentiellement pratiques de place sur le registre d'état civil tenu à la main et à la plume sergent major, on s'en tenait à deux prénoms voire trois, presque jamais plus.

mercredi 28 juillet 2021

Mes prénoms de l'été : E comme Éleuthère

A la lettre E, il est tentant de penser à la reine Elisabeth II d'Angleterre Élisabeth II — Wikipédia (wikipedia.org)

Ou un autre prénom que j'aime assez pour l'avoir donné à l'un de mes enfants

Mais dans la généalogie des prénoms de famille, si les prénoms donnés par mes grand-parents paternels à leurs enfants ne suscitaient aucune question, ceux de ma mère et de mes tantes et oncle m'ont toujours intriguée. Celui de mon oncle particulièrement qui était le deuxième prénom de son père.

Éleuther (prononcer tère) qui peut aussi s'écrire Éleuthère

lundi 26 juillet 2021

Mes prénoms de l'été : D comme Denis

Quoi ? Encore un prénom masculin ? Oui mais pas que ! Denis est aussi un patronyme qui est devenu célèbre par l'icône de la publicité des années 1970 que j'ai vu maintes fois le long des couloirs du métro ou en bonne page des magazines féminins.

vendredi 23 juillet 2021

Mes prénoms de l'été : C comme Corentin

Plus précisément comme Corentin Celton, condamné à mort et fusillé au Mont-Valérien, le 29 décembre 1943. Dans sa dernière lettre, il écrivit : 

« Je tiens à vous dire au moment où je vais mourir que j’ai lutté pour un monde meilleur, ce qui reste ma fierté au moment où je vais payer de ma vie mon attachement à mon idéal politique. [...] Il me coût[e] peu de mourir puisque j’ai la certitude que la France vivra. »

source Le Maitron, Celton Corentin 

mercredi 21 juillet 2021

Mes prénoms de l'été : B comme Bernard

"Le genre humain, qui devrait avoir six mille ans de sagesse, retombe en enfance à chaque nouvelle génération."
Tristan Bernard, 1866 - 1947, romancier et dramaturge français

Oui, Bernard c'est aussi un nom de famille et ce romancier et dramaturge aux œuvres il faut l'avouer assez oubliées reste célèbre par ces petites phrases et sa suite aux stances de Corneille mis en musique par Brassens. (Marquise ...) 
Mais ce n'est pas lui que je souhaite évoquer ici. Le temps de l'Histoire s'accélère singulièrement même si depuis le début de 2020, il nous a aussi réduit à l'immobilité. Ce n'est plus seulement à chaque nouvelle génération que ... L'amnésie collective frappe en quelques années, voire quelques mois, voire quelques jours.

mercredi 14 juillet 2021

Mes prénoms de l'été : A comme Axel

 Bigornette proposait que l'on produise un petit billet décalé avec animaux je crois sur un prénom rare et ou insolite.

Ici l'occasion m'est donnée au contraire de faire une pose sur une mise en lumière.

Axel, j'en connais deux. Bien sûr pas personnellement. L'un est homme politique français, une tradition familiale et d'une lignée princière polonaise, actuellement député et longtemps député maire*.

Ici, j'évoquerai l'autre, celui qui disait récemment sur ma radio préférée, "j'ai été intensément heureux".