En embuscade à l'écart de la sente, la dame de deuil et sa corneille observent les butineuses. Quelle forfaiture conspire-t-elle ? Le printemps dans sa course du temps indispose ses projets funestes.
Sous les grands troncs nus
chauffées au soleil d'avril
elles sont offrande pure.
Sur la sente elles grappillent des fleurs de vie pour quelque remède, quelque infusion, quelque crème de beauté, quelque onguent quelque philtre de douceur.
Sans rien dérégler
de l'horloge de l'univers
avec gratitude.
La dame noire se résigne à céder la place à la sève prête à l'assaut des fûts séculaires pour aller là-haut, tout là-haut, nourrir les canopées et, dans l'éclatement silencieux des bourgeons, épanouir les feuilles en mille éclats de lumière.
Entre deux saisons
des vies tapissent le sol
ivres de soleil.
Bientôt sous les frondaisons
l'ombre sera don de fraîcheur.
JEUDI 25 :puisque ressort, l’intégralité des critiques cinéma de François Truffaut, parlez-moi de cinéma, du plaisir d’être dans une salle obscure avec d’autres Ou de votre acteur ou actrice préféré partant toujours du principe qu’« Aimer quelqu’un (ou quelque chose), c’est s’intéresser à lui (cette chose).»
Préambule : lundi dernier j'évoquais les séances de ciné-club de mon enfance, anticipant à dessein sur le thème de ce jeudi poésie. Los Olvidados, de Luis Bunuel, (prix de la mise en scène au festival de Cannes 1951) fut l'un de ces films et la découverte d'un cinéaste de génie. Avec le privilège supplémentaire d'avoir pu y associer le poème de Prévert. Je ne sais plus d'où nous avions lu le recueil Spectacles.
"Le cinéma est une arme magnifique et dangereuse si c'est un esprit libre qui le manie."* (Luis Bunuel)
"C'est pas seulement ma voix qui chante, c'est d'autres voix, une foule de vois d'aujourd'hui et d'autrefois." (Jacques Prévert)
Source : La bande à Carné, Jacques Prévert, 1965
Los olvidados
Los olvidados
petites plantes errantes
des faubourgs de Mexico-City
prématurément arrachées
au ventre de leur mère
au ventre de la terre
et de la misère
Los olvidados
enfants trop tôt adolescents
enfants oubliés
relégués
pas souhaités
Los olvidados
La vie n'a pas eu le temps de les caresser
Alors ils en veulent à la vie
et vivent avec elle à couteaux tirés
Les couteaux
que le monde adulte et manufacturé
leur a très vite enfoncés
dans un cœur
qui fastueusement généreusement et
heureusement
battait
Et ces couteaux
ils les arrachent eux-mêmes de leur
poitrine trop tôt glacée
et ils frappent au hasard
au petit malheur
entre eux
à tort et à travers
pour se réchauffer un peu
Et ils tombent
publiquement
en plein soleil
mortellement frappés
Los olvidados
enfants aimants et mal aimés
assassins adolescents
assassinés
Mais
Au milieu de la fête foraine
Un enfant épargné
Sur un manège errant
sourit un instant en tournant
Et son sourire c'est le soleil
qui se couche et se lève en même temps
(Jacques Prévert, Spectacles, Gallimard, 1951)
* cinquante ou soixante ans après l'énoncé de cette opinion et avec le recul et la puissance instantanée de la diffusion massive des images au détriment des espaces de pensée, je mettrais maintenant un énorme bémol à cet enthousiasme de l'essor du cinéma et de la télévision car la puissance des images peut hélas être mise au service des plus abjectes propagandes.
En ces jours de Pâques et de dégustation de chocolat, j'aimerais aussi évoquer, avec Sauvons la forêt, tous ces enfants qui travaillent souvent dans des conditions épouvantables dans les cultures de cacao du Mexique et d'ailleurs sans même savoir s'ils aimeraient déguster un carré de chocolat.
Luis Buñuel, 1900 - 1983, réalisateur et scénariste mexicain d'origine espagole Jacques Prévert, 1900 - 1977, poète, scénariste, parolier et artiste français
Dernière étape de la dixième session des prénoms du mercredi et je l'ai déjà annoncé, nous allons aujourd'hui dans les Alpes maritimes.
Wilgeforte qui assume d'être un peu ronde
est une femme assurément gironde.
Pour Koffi son double sa moitié,
c'est définitivement sa dulcinée.
Ils attendent leur retraite avec délice
pour refaire leur voyage de Noces à Nice,
les petites routes d'arrière pays
pour un bilan heureux de leur vie.
Leur rando dans la Vallée des Merveilles,
leurs serments pour demain la veille.
Wilgeforte admirait les âmes fortes
et pour Koffi ouvrit de son coeur la porte.
LUNDI 22 : mon réalisateur préféré est François Truffaut, quel est le vôtre ? Si vous n’en avez pas, parlez-moi de votre film ou genre de film préféré ? Mais il s’agit de cinéma plutôt en salle qu’à la maison (même si vous revoyez le film à la télé ou en DVD), pas de téléfilm ou de séries télé.
"Aimer quelqu'un, c'est s'intéresser à lui" aurait dit le cinéaste François Truffaut en mettant sans doute ces mots dans la bouche d'un de ses personnages. J'imagine bien ce genre de propos entre le docteur qui accueille Victor, l'enfant sauvage et sa gouvernante quand l'un ou l'autre renâcle à faire une corvée ou à subir les colères de leur encombrant protégé.
Je ne me lancerai pas dans une discussion sur les sens des verbes aimer et intéresser. Il y a de quoi en faire une dissertation ou une thèse tant ses mots en français s'utilisent à toutes les sauces.
J'ai joué le jeu sans enthousiasme, mon talent pour faire des requêtes pertinentes étant limité mais j'ai finalement trouvé une citation approchante :
"Aimer, c'est s’intéresser vraiment à quelqu'un"
Une porte d'espérance : paroles de Jean Vanier*, 1993
Jean Vanier, Anne-Sophie Andreu, ed l'Atelier (réédition numérique, p60)
* fondateur de la Communauté de l'Arche
J'aime le cinéma. Ne me demandez pas d'où me vient cet "engouement", il me faudrait vous inviter à la veillée pour une conversation qui risquerait de durer longtemps.
Si j'ai un vague souvenir de mes premiers films lors d'un séjour à Paris où je devais avoir trois ou quatre ans, les sorties au cinéma à la séance de l'après-midi étaient une fête quand mon grand frère et ma grande sœur m'y emmenaient. La séance se prolongeait alors souvent au bar avec une menthe à l'eau ou un lait fraise, des chansons dans le juke box, quelquefois l'autorisation de jouer au flipper. Et des discussions à n'en plus finir au sujet du film avec leurs copains.
C'est que l'habitude de prolonger la séance s'était faite grâce au ciné club des jeudi après-midi d'hiver au gymnase du Cours Complémentaire devenu ensuite collège d'enseignement général. J'aime à croire que des générations de collégiens y ont appris comme moi le goût des films, de la réflexion, et de la confrontation d'expressions d'opinions différentes, de la nécessité d'argumenter. Là encore, j'avais le privilège d'y accompagner mes aînés. Les films n'y étaient pas récents, les copies pas toujours de bonne qualité, les interruptions fréquentes entre changement de bobines ou incident de pellicule. Mais le silence se faisait dès qu'on baissait les lumières et la sélection donnait matière à débattre bien au-delà du strict sujet abordé.
J'aime le cinéma car c'était une fête et une formidable stimulation à la pensée comme à l'ouverture sur d'autres horizons et d'autres vies que nos petites vies limitées aux horizons de notre bourg. D'autres ados ont dû subir l'exercice comme un pensum. Mais il faut croire que l'esprit du philosophe Alain planait encore dans ces lieux.
Alors ne retenir qu'un cinéaste, ne citer qu'un seul film, j'en serais bien incapable.
Lundi dernier, c'est en sortant du cinéma vers 19h30 où nous venions de voir "Rebelles" de Allan Mauduit que l'une de nous a vu en premier le feu à ND de Paris. Incrédulité en premier réflexe après une séance jubilatoire. J'aurais pu aussi évoquer l'un des derniers films revus sur ARTE ou même la très belle transcription pour la télé par José Dayan du roman policier de Fred Vargas Quand sort la recluse.
Juste évoquer en ce jour d'une terrible et triste violence l'émotion d'un dimanche après-midi du début des années 2000 à la sortie d'un cinéma d'art et d'essai du Quartier Latin à Paris où je venais de découvrir un film** sur le Sri Lanka, d'un indien ou d'un srilankais grâce au choix de mon fils. Émotion dis-je devant la beauté terrible de ce que nous venions de voir. Émotion que je doive cette découverte à mon fils qui allait donc "s'intéresser" au cinéma et pas seulement aux jeux vidéo. Émotion qu'il faille en passer par un film de fiction visionné dans une dizaine de salles en France pour avoir connaissance des drames qui se déroulaient depuis tant d'années dans le silence des médias et notre indifférence.
En rattrapage, petite séance de poésie, en musique mais totalement sans paroles
La bande son de cet extrait est infâme mais on peut baisser le son avec le curseur sans le supprimer complètement car la musique est l'un des acteurs du film.
En échos : Mère Gé écrit déjà pour l'Herbier de poésie, page 88, exceptionnellement sur un extrait de Chant de Mère-Terre par la chamane UUTAÏ Olena Chamane, de "Un vivant déjà mort de l'indifférence des autres"
JEUDI18 : même si je suis (professeur) documentaliste, je ne retrouve pas qui a dit (à peu près), « Aimer quelqu’un, c’est s’intéresser à lui » Si vous pouviez me retrouver l’auteur de cette citation et comment elle est formulée exactement. Comme il s’agit d’un atelier d’écriture, écrivez à partir de cette citation (que je crois être de François Truffaut)
Quant à moi, petite élève d'atelier d'écriture indisciplinée, je préfère partager des poésies choisies ou quelquefois un de mes textes préalablement écrits. Je reviendrai plutôt sur cette proposition en la tissant avec celle du défi lundi prochain. Aujourd'hui, j'ai envie d'aimer "à ma manière" Notre Dame de Paris.
J'ai d'abord pensé à Aragon, La rose et le réséda ou à Antoine de Saint-Exupéry, l'extrait du Petit Prince avec la phrase, "On ne voit bien qu'avec le coeur. L'essentiel est invisible pour les yeux."
C'est Sylvain Tesson qui m'a rafraîchi la mémoire en évoquant cette phrase de Rimbaud que j'avais déjà partagé sur mon premier blog Corde ! Clic --->
"J’ai tendu des cordes de clocher à clocher ; des guirlandes de fenêtre à fenêtre ; des chaînes d’or d’étoile à étoile, et je danse."
Dans le texte de Rimbaud, écrit en 1871, il suffit de remplacer un seul mot pour qu'il semble écrit pour le 15 avril 2019, le mot juillet. ... et chercher dans chacune de ses phrases, une interrogation sur le verbe "aimer".
Quand le monde sera réduit en un seul bois noir pour nos quatre yeux étonnés, — en une plage pour deux enfants fidèles, — en une maison musicale pour notre claire sympathie, — je vous trouverai. Qu’il n’y ait ici-bas qu’un vieillard seul, calme et beau, entouré d’un luxe inouï, — et je suis à vos genoux. Que j’aie réalisé tous vos souvenirs, — que je sois celle qui sait vous garrotter, — je vous étoufferai. Quand nous sommes très forts, — qui recule ? très gais, — qui tombe de ridicule ? Quand nous sommes très méchants, — que ferait-on de nous ? Parez-vous, dansez, riez. Je ne pourrai jamais envoyer l’Amour par la fenêtre. Ma camarade, mendiante, enfant monstre ! comme ça t’est égal, ces malheureuses et ces manœuvres, et mes embarras. Attache-toi à nous avec ta voix impossible, ta voix ! unique flatteur de ce vil désespoir. Une matinée couverte, en Juillet. Un goût de cendres vole dans l’air ; — une odeur de bois suant dans l’âtre, — les fleurs rouies, — le saccage des promenades, — la bruine des canaux par les champs, — pourquoi pas déjà les joujoux et l’encens ? J’ai tendu des cordes de clocher à clocher ; des guirlandes de fenêtre à fenêtre ; des chaînes d’or d’étoile à étoile, et je danse. Le haut étang fume continuellement. Quelle sorcière va se dresser sur le couchant blanc ? Quelles violettes frondaisons vont descendre ? Pendant que les fonds publics s’écoulent en fêtes de fraternité, il sonne une cloche de feu rose dans les nuages. Avivant un agréable goût d’encre de Chine, une poudre noire pleut doucement sur ma veillée. — Je baisse les feux du lustre, je me jette sur le lit, et, tourné du côté de l’ombre, je vous vois, mes filles ! mes reines !
Arthur Rimbaud, Phrases, Les Illuminations (1886),
Une alerte actualité sur mon smartphone m'a fait l'annonce de la première image imminente d'un trou noir a affiché (par facétie ?) celle d'une galaxie ressemblant à un papillon
L'une de ces images qui disent d'un regard la connivence entre l'astrophysique la plus avancée et la poésie. Je sais bien peu de choses de l'univers, juste ce que j'en ai lu dans les ouvrages de Hubert Reeves (Patience dans l'azur ; Poussières d'étoiles) et de Jean-Pierre Luminet (Les trous noirs) tandis que je calais malgré sa volonté de vulgarisation (au sens noble) sur Une brève histoire du temps de Stephen Hawkins.
J'ai mis mes pensées beaucoup plus volontiers dans leurs écrits littéraires, Malicorne (qu'il m'arrive encore de relire) et L'heure de s'enivrer, l'univers a-t-il un sens ? de Hubert Reeves... et faisant résonance ce texte intime de Jean-Pierre Luminet paru en 2014, "Ce trou énorme dans le ciel".
[…] donnez-moi le temps de récupérer c’est fatigant d’essayer d’être normal tout le temps être malheureux c’est mieux qu’être idiot tout le monde me déteste en secret je pourrais avoir tout ce que je veux j’aimerais rester seul simplement dormir […] […] c’est quoi le silence une sorte de tristesse ou de peur peut-être tout le monde a peur de dire ce qu’il ne faut pas […] […] comment vas-tu bien merci je n’y vois plus personne ne peut nous renseigner tout le monde est seul on ne s’occupe pas des morts après le coucher du soleil […] […] les journées seront longues et les nuits […] […] ma vie toute entière s’est effondrée personne n’a fait pression vous savez de quoi je parle les idées noires passent j’ai décidé de rester […] […] mais en voyant le verre cassé j’ai eu la nette impression qu’il valait mieux ne rien dire comme si rien n’était arrivé il est tard je dois rentrer il y a un trou énorme dans le ciel […] […] j’ai l’habitude de me sentir seul et là je découvre la solitude plus profonde encore alors chaque jour est important […]
Ce soir-là était doublement un grand soir pour le moussaillon. Il venait de franchir pour la première fois la ligne invisible de l'équateur, le jour même de ses douze ans. Selon la tradition, les marins lui offriraient sa première pinte d'alcool fort et il monterait tout en haut du grand mât.
La mer démontée
se soulevait en montagnes
dans les rugissants.
Depuis qu'il avait embarqué, il s'y était accoutumé mais la tempête était si rude que l'ordinaire de son dîner avait fini par nourrir les poissons par-dessus le bastingage. après le déchaînement des vagues, le breuvage acheva de lui mettre la tête à l'envers. Mille fois il manqua de dévisser du mât avant d'atteindre la hune. Mille fois il dérapa encore en allant toujours plus haut.
Dans la nuit opaque
une nef illuminée
semblait le narguer
"Le Hollandais volant" cria la petite voix étranglée du sommet de la grand voile. En ces temps d'ignorance et de rites païens, la première cuite faisait l'homme. Le cri était parole d'homme, reprise par tout l'équipage. Nul doute que la forme mousseuse trouant la nuit ne pouvait être que le vaisseau fantôme. Les marins en convainquirent jusqu'au capitaine et son illustre passager.
D'un vaisseau d'écume
qui dansait dans les éclairs
surgit la légende.
Une illustration qui me fait
évidemment penser à la comptine « Il était un petit navire »
mais plus encore à son pastiche trouvé consigné dans le cahier de
chansons de mon père et dont j'ai repris les paroles sur mon blog : Il était un petit navire
Puisque la ronde des prénoms du mercredi va prendre la pause (je n'ai pas dit la pose !) fin avril, en attendant le rétablissement de sa gentille maicresse des récrés, mon tour de France passe encore par deux départements du sud-ouest, histoire d'avoir le temps de visiter tout l'hexagone.
Aujourd'hui donc, le Gers (32) et les Hautes-Pyrénées (65).
Le bonheur est dans le pré
pour Lotte
à Montaut
En cure à Argelès-Gazost
elle y soignait, Lotte,
ses jambes lourdes.
des paroles dans ses esgourdes
comme à Lourdes,
comme à Lourdes :
Le bonheur est dans le pré,
cours-y vite !
cours-y vite!
Le bonheur est dans le pré,
cours-y vite, il va filer.
Du vieux moulin à vent,
on lui vend,
on lui vend
De l'ancien et vieux moulin,
lui a vendu deux meules à grains.
Près de la motte,
tout là-haut,
tout là-haut,
Elle a bati sa maison
à Lotte
près de la Motte.
Le bonheur est dans le pré
pour Lotte sur la motte
Là-haut à Montaut.
Durgalola à la barre du défi n°218 des CROQUEURS DE MOTS nous proposant de nous mettre dans la pensée d'un arbre, donne comme consigne :
Deuxième jeudi en poésie : un poème relatif aux arbres
NB : en complément pour jeudi dernier, parce que mardi et mercredi deux commentaires anonymes en anglais m'ont rappelé ce billet du 15 novembre 2018 :
France Inter, émission boomerang, 12 novembre 2018
(poème à partir de la minute 27)
Cécile Coulon, née en 1990, romancière, nouvelliste et poétesse
La semaine dernière, je partageais avec vous un poème de Jill Bill écrit pour l'arbre de Jamadrou et L'Herbier de poésie. C'est pour ce même jeu d'écriture que j'ai écrit ce calligramme. Lundi je me suis amusée avec les couleurs :
En roue libre mon tour de France des prénoms du mercredi, même si maicresse Jill est bien rentrée. Elle fera pour sa santé la cour de récré buissonnière. Prends soin de toi c'est l'essentiel !
pour conjurer le sort
d'être né à Montmort
ses parents qui l'adorent
l'ont prénommé Trésor.
Devenu grand et fort
Il pensa à habiter le Trégor
ou le Périgord.
Trop loin encore !
Dans le département voisin
de L'Ain,
il a choisi Champdor
et son blason aux blés d'or.
en séquence nostalgie, souvenir de dimanches
où papa et maman chantaient en chœur
Montmort, commune du département de Saône et Loire, région Bourgogne Franche-Comté Le Trégor est l'une des 9 anciennes provinces de Bretagne Le Périgord est un ancien comté correspondant approximativement au département de la Dordogne avec un petit bout du Lot Champdor ancienne commune du département de l'Ain, région Auvergne-Rhône-Alpes qui est devenue Champdor-Corcelles en fusionnant le 1er janvier 2016.