Chaque jour je n'oublie pas Anne-Sophie et ses compagnes d'infortune de 145 en 2010 à 94 ou 103 ou 134 selon les sources en 2023

(clic sur le lien pour comprendre ... un peu)

lundi 28 octobre 2024

Oyez les croqueurs de mots : en route pour 296 avec Josette

Proposition pour les croqueurs de mots 

n° 296

Publication prévue le lundi 4 novembre 2024

Je vous laisse découvrir sa feuille de route sur son blog La cachette à Josette: Annonce pour le défi des croqueurs de mots !

 
Pour ma participation à L'herbier de poésie, c'est le billet précédent Fadosi continue: Au paradis des chats

Au paradis des chats

petit rappel, je suis dans l'impossibilité à cause d'un bug de déposer des commentaires sur les blogs de Blogger. Vous m'en voyez désolée. 

Pour la page 237 de  l'Herbier de poésies

Je me souviens de cette maison de retraite. Disait-on déjà Ehpad en cette fin de siècle dernier ? Ehpad, cet acronyme qui n'évoque rien sinon depuis quelque temps un parfum de scandales financiers et l'isolement de leurs pensionnaires pendant les confinements sanitaires de la Covid. 
L'établissement était situé en bord de Seine. Les crues du fleuve menacent-elles d'envahir son jardin ? voire le bâtiment ? La mère de ma cousine y était hébergée, à la suite d'une fracture du col du fémur dont elle ne se remettrait pas. 
Je ne sais plus si c'est ma cousine qui me l'avait demandé ou si je le lui avais proposé, il m'est arrivé plusieurs fois de l'emmener, voire d'y aller seule pendant ses vacances.

Un dicton disait
que l'enfant devient adulte
quand les rôles s'inversent

Et que le temps est venu
d'être père, mère d'un parent.

Je me souviens de ce parc arboré aux bien jolis parterres de fleurs, qui offrait aux résidents quelques moments de plein air et des allées adaptées aux déambulateurs et aux fauteuils roulants.
Et ce spectacle surprenant : un large coin de pelouse  servait de lieu de conciliabule à tous les chats du voisinage. Je n'en avais vus et n'en ai jamais revus autant au même endroit, paisiblement assis, vivant leur vie tels une colonie de petits singes, comme si les humains n'existaient plus autour d'eux. Combien étaient-ils ? Je les avais comptés, dépassant la vingtaine ou la trentaine. La vérité est sans doute que c'était aussi un lieu de gourmandise, les vieilles dames leur apportant en douce des restes de leurs repas. Sans oublier les autres petits habitants du parc, rongeurs et oiseaux. Un peuple de chats de gouttière, sans façons, se moquant bien des idées de leurs maîtres quand ils en avaient. Réunis là dans un coin de paradis.

L'assemblée des chats
offrait un tableau vivant
dans ce jardin zen

Instant suspendu de paix
hors des chahuts et des bruits.
©Jeanne Fadosi, mardi 22 octobre 2024
pour la page 237 de l'Herbier de poésies
à découvrir avec les autres brins sur la page 237
 

jeudi 24 octobre 2024

Jeudis poésie : A Pierrot

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Et de nouveau l'envie de garder un fil poétique avec ce rendez-vous des CROQUEURS DE MOTS qui  revient sans les jeudis. 
on peut lire avec le son lien par le titre ou celui-ci La lune est morte

 
Pleurez Pierrots, poètes et chats noirs
La lune est morte, la lune est morte
Pleurez Pierrots, poètes et chats noirs
La lune est morte ce soir

Un homme marche sur le sol
De ce vieux miroir de vos rêves
Et c'est votre cœur que l'on crève
La corde qu'on vous passe au col

Il va falloir aller plus loin
Par delà des millions d'étoiles
À la recherche de l'étoile
Qui vous fera rêver demain

Pleurez Pierrots, poètes et chats noirs
La lune est morte, la lune est morte
Pleurez Pierrots, poètes et chats noirs
La lune est morte ce soir

Comme une fleur de tournesol
On a mis la Lune en bouteille
Et les enfants de la corbeille
Ont applaudi comme à guignol

Un homme marche sur le sol
De ce vieux miroir aux merveilles
Dans mon jardin depuis la veille
Ne chante plus le rossignol

Pleurez Pierrots, poètes et chats noirs
La lune est morte, la lune est morte
Pleurez Pierrots, poètes et chats noirs
La lune est morte ce soir


détail d'une broderie au point de croix de Pierre, dit souvent Pierrot, la moitié, le double,
l'ange gardien de ma sœur Jacotte Eléphants en miroir - Fa Do Si


lundi 21 octobre 2024

Déficroq 295 (n°4 2024-2025) : l'héritage

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Cette quinzaine, Dômi à la barre des CROQUEURS DE MOTS pour le défi 295 

Pour ce défi 295, c'est votre commandante qui prend la barre.

Voici ce que elle nous propose ...

En vous inspirant de l'image, je vous demande de mettre dans un contexte de votre choix , la phrase suivante : " J'ai une bonne et une mauvaise nouvelle... "

Pour corser la chose, vous introduirez dans votre texte les mots suivants ...

Manivelle, ablation, poivre, anniversaire, boutons, vert, avion, flacon, explosion, mariage

Bonjour frangin.
Je sais que je ne t'ai pas écrit depuis la guerre des boutons et mon ablation d'une virgule qu'on disait inutile pour cause d'appendicite. Je n'avais pas apprécié le poivre que tu étais supposé avoir mis dans notre gâteau d'anniversaire. Ca avait tout déclenché ! Moi tordu de douleur et plié en deux sur mes boyaux en vrac, le père, pour une fois semblant ému, qui n'arrivait pas à faire démarrer la vieille traction à la manivelle. Et toi mon jumeau, tout penaud, me tamponnant le front d'un mouchoir imprégné de l'eau de Cologne du flacon de la mère que jamais nous n'avions le droit d'utiliser. Tu étais  vert de trouille après chaque toussotement du moteur à explosion. Où était-elle la mère d'ailleurs ? transparente dans l'ombre du père sans doute, comme d'usage depuis leur mariage. Même quand le père t'avait accusé de cette mauvaise blague et la fâcherie définitive entre nous deux.
Mais je ne t'écris pas aujourd'hui pour te rappeler cette stupide brouille. Depuis mon départ de la maison, tu sais peut-être qu'ils passent leur retraite à visiter toutes les régions touristiques de la planète. Ils ont ramené de chaque voyage de bien beaux objets, certains de valeur.  
Je t'écris pour te dire qu'ils étaient dans l'avion qui s'est craché l'autre jour au Népal. Il paraitrait qu'il y avait des branches d'arbre en bout de la piste de décollage. On ne pleurera pas longtemps ces Thénardier . La seule chose dont ils n'étaient pas avares, c'était des coups de ceinture. Et de leur art de nous dresser l'un contre l'autre.
J'ai une bonne et une mauvaise nouvelle à t'annoncer :
Grâce aux oursins qu'ils avaient dans les poches, ils ont amassé un joli pactole dont nous allons hériter. Ca c'est la bonne nouvelle. La mauvaise c'est que le père avait une double vie et trois autres enfants avec qui il va falloir partager.
J'espère au moins que leur disparition sera pour nous deux l'occasion de nous réconcilier, même s'il me semble improbable de retrouver notre complicité de la prime enfance.
Bien à toi, 
ton frère qui ne t'a jamais oublié.
©Jeanne Fadosi, dimanche 20 octobre 2024
pour le défi 295 des CROQUEURS DE MOTS





dimanche 20 octobre 2024

Pour l'image 36 d'An'Maïn : Aux couleurs de l'été indien*

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Sur l'image 36 proposée le 2 octobre par An' Maï pour ses défis Une image des mots 



Un petit bonhomme
qui annonçait le printemps
en habit vert pomme

J'en connaissais la chanson**
fêtant la fin de l'hiver.


Voici drapée d'or
Dame automne en ses atours
annonçant frimas

semant couleurs flamboyantes
comme pour prolonger l'été.
©Jeanne Fadosi, samedi 19 octobre 2024
pour l'image 36 d'An'Maï


et pour chasser le spleen de la "morte" saison, le printemps finira bien par renaître ...




 

dimanche 13 octobre 2024

Danser sur des charbons ardents

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Ce vendredi pour le nid des mots de abécé, thème d'octobre 2024, j'écrivais en avant-propos 
Bien difficile cette demande quand l'auteur de cette citation est un homme d'Etat devant une assemblée d'autres hommes d'Etat représentant une grande partie des pays de la planète au IVe sommet de la Terre en 2002. Notre maison brûle et nous regardons ailleurs — Wikipédia (wikipedia.org)
Je précisais : J'ai choisi deux thèmes dans mes brouillons. Je mettrai le second en ligne dimanche, en marge du nid des mots. 
Et le voici

Elle a dansé pour ne pas oublier
elle a dansé pour ne donner aux regards,
le temps d'un break,
loin des carcans et des menaces,
où danser leur est interdit,
où même parler est sanctionné,
que son aile déployée.

Elle était loin des podiums
elle s'est drapée d'un étendard
juste pour qu'on n'oublie pas 
ses sœurs de malheur.
Le public a applaudi.
Ces messieurs arque boutés
sur la lettre du règlement
l'ont disqualifiée.


vendredi 11 octobre 2024

De la flamme au bûcher

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pour  Le nid des mots de abécé, thème d'octobre 2024 :

Prochain Thème, à publier sur notre blog le vendredi 11 octobre :

"Notre maison brûle et nous regardons ailleurs"
(ATTENTION : à traiter en prose, poésie, haïkus, à votre gré, sans notion de politique ni de religion)


Bien difficile cette demande quand l'auteur de cette citation est un homme d'Etat devant une assemblée d'autres hommes d'Etat représentant une grande partie des pays de la planète au IVe sommet de la Terre en 2002. Notre maison brûle et nous regardons ailleurs — Wikipédia (wikipedia.org)

Si j'ai pris comme il se doit cette citation comme une métaphore d'autres tragédies, j'ai écarté le dérèglement climatique, thème qui m'est cher pourtant, tant il est devenu un sujet brûlant politique quand ce n'est pas politicien. J'ai choisi deux thèmes dans mes brouillons et je vous soumets ici celui qui me semble respecter le plus la consigne tant cette préoccupation devrait être universelle. Je mettrai le second en ligne dimanche, en marge du nid des mots.

Elle a couru dreadlocks au vent
Elle a couru de Paris à Versailles
dans les pas des femmes des halles
réclamant, pour manger, du pain
et simplement de vivre libres.
Olympe de Gouges portera leur voix
Ces messieurs de la constituante
n'en voudront pas.

Qui n'a pas regardé ailleurs
quand elle est devenue torche vive
loin de la flamme olympique ?
Trop tard pourtant pour la sauver !
Qui regarde ailleurs
quand les maisons brûlent
pour un crime d'honneur ?
pour tant de crimes d'horreur ?

mercredi 9 octobre 2024

Pour l'image 35 de An'Maïn : Etoile des neiges

 
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Sur l'image 35 proposée le 2 octobre par An' Maï pour ses défis Une image des mots 


En hommage à Michel Blanc
Comment me trouves-tu
là sur un malentendu
parmi les étoiles ?

Etoile des neiges
ma maman vous trouve très beau
Au revoir là-haut !
©Jeanne Fadosi, dimanche 6 octobre 2024
pour l'image 35 d'An'Maï

C'est évidemment ce qui m'est venu en tête à l'annonce du décès soudain de l'acteur Michel Blanc, la chanson d'origine faisant partie de notre répertoire familial

Un des films où il montre l'étendue de son talent et de sa sensibilité et pour la petite fille qui apparait à la fin, devant son tracteur quand sa maman est revenue

Parce qu'il n'aurait pas dénoté dans la distribution de ce film aussi loufoque que profond et pour la fillette rajoutée par rapport au roman, qui illumine tout le film telle une Alice post-moderne à laquelle me renvoie l'image en écho à celle-ci :



Et à propos du choc anaphylactique qui serait à l'origine 

Une petite récap de mes textes sur le temps chronologique

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pour illustrer mon défi 294

Fadosi continue: Quand le temps fut aboli, pour Mil et Une 27 mai 2016

Fadosi continue: Temps subi, temps agi 17 juin 2017

Fadosi continue: Abîme, pour Mil et Une 4 mars 2017

Fadosi continue: En écho au solstice, par ABC 24 décembre 2015

Fadosi continue: Une rentrée à la retraite, de Jeanne Fadosi 30 mars 2023, réédition du 6 septembrte 2009

Fadosi continue: Défi n°266 : Visite au Mont 30 mai 2022

Fadosi continue: Le balancier et le sablier, réédition d'un de mes poèmes 16 avril 2016, 22 juin 2023

Fadosi continue: En ce temps barbare qui est le nôtre ... 12 avril 2018

Fadosi continue: Et soudain un cairn 6 janvier 2016

Fadosi continue: Défi n°241 des CROQUEURS DE MOTS : l'art c'est l'art, l'heure c'est l'heure ! 23 novembre 2020

Fadosi continue: Pour l'image 30 de An'Maï : Depuis combien de temps déjà ? 6-8 juillet 2024

Fadosi continue: Sage comme une image 12 août 2023

Fadosi continue: Pour l'image 27 de An'Maï : "Time Stop !" 20 mai 2024

nb le film Megalopolis est en salles en ce moment (octobre 2024)

Fadosi continue: Loin de mon chemin d'écriture 13 juin 2020

Fadosi continue: Mythologie du futur 17 novembre 2019

ou quand la boucle est bouclée :

La remise de Fadosi: bonus défi n°87 : Les astres et Soun 

Fadosi continue: Défi n°189 : Fiction et réalité 26 juin 2017 février 2016

Fadosi continue: Défi n°160 prolongement : où Cosinus retrouve Christophe 29 février 2016

Fadosi continue: Du défi n°154 au défi n°155 : quand il est temps de ... 22 novembre 2015

Fadosi continue: Abécédaire du monde d'après : R comme Rien (2) 5 septembre 2022 pour Les anthologies éphémères Métiers improbables 2019

Fadosi continue: Mes prénoms de l'été : B comme Bernard 21 juillet 2021

Fadosi continue: Calligrammes .. 30 avril 2020

Fadosi continue: Défi n°192 : "En une heure," 9 octobre 2017 septembre 2008

Fadosi continue: Le visiteur, pour Mil et Une 19-21 janvier 2017

Fadosi continue: La pendule de Mémé Gudule 10 novembre 2022 13 avril 2010

Fadosi continue: Ont-ils eu peur ? 23 février 2023

Fadosi continue: Abécédaire du monde d'après : U comme Ukraine : de l'utopie à l'uchronie 28 septembre 2022

Fadosi continue: De la grappe à la cave de garde, pour Mil et Une 1e octobre 2016

Fadosi continue: Dans le sillage du défi océan : Au bout du chemin de grève 3 août 2015

Fadosi continue: Défi n°271 : Le temps des horloges 14 novembre 2022

Fadosi continue: La crique 28 février 2020

Fadosi continue: 25 novembre ... Vivre femme 25 novembre 2015

Fadosi continue: Défi n°249 : Lundi c'est férié 19 avril 2021

Fadosi continue: Défi n°267 : Abécédaire par Temps de crise 12 septembre 2022

Fadosi continue: Défi n°175 : De fil en aiguille 5 décembre 2016

Fadosi continue: Temps immobile 26 janvier 2018

Fadosi continue: Jeudi poésie : Souvenirs du bord de l'eau 11 avril 2024

Fadosi continue: Sans mots 5 mars 2016

Fadosi continue: Elsa attend, pour Mil et Une 10 janvier 2016

Fadosi continue: Défi n°235 : uchronie 13 avril 2020


lundi 7 octobre 2024

Déficroq 294 (n°3 2024-2025) : Et les suniens ramèrent

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Cette quinzaine, c'est moi qui tiens la barre des CROQUEURS DE MOTS pour le défi 294
illustrer à votre sa manière 
(prose, vers, dessins, images) 
(pas trop long svp), 
un monde où le temps serait aboli. 
(Celui de l'Histoire ou celui de la météo ou les deux)

L'idée de ce sujet m'est venu d'un ancien défi des CROQUEURS DE MOTS que j'avais relevé pour Lilou Défi n°87 (code 8877) : Les astres et vous - Fa Do Si (over-blog.com) 7 octobre 2012, et surtout le texte complet que je n'avais pas osé soumettre en principal bonus défi n°87 : Les astres et Soun - Fa Do Si (over-blog.com) et que j'avais repris plus tard pour miletune Fadosi continue: Quand le temps fut aboli, pour Mil et Une, 27 mai 2016

Sans le temps du chrono
la météo sur la lancée
de la flèche du temps
a continué quelque temps
à danser avec ce temps 
qui n'était plus.

Puis doucement sans crier gare
ses rouages se sont décalés
imperceptiblement
dans une autre dimension.


Dans ce temps sans début et sans fin
nul ne s'est inquiété
de ces innombrables prémisses.
Et soudain, tout s'est déréglé.

Sans le temps des horloges
il n'y eut plus de saisons
plus de soleil pour les jeux de plage
plus de neige pour les sports de glisse
plus de nuits pour y danser 
jusqu'au bout de la nuit

Du brouillard sans pluie
ou des pluies diluviennes
formèrent tempêtes et ouragans 
ou un ardent soleil
asséchant et brûlant tout
tarissant sources et rivières.

 

Ceux qui avaient connu 
le monde d'avant la fin du temps
choisirent le grand départ
jusqu'au dernier.

Parmi ceux qui restaient,
ni jeunes ni vieux
mélange de jeunesse et de vieillesse
mais sans sagesse ni vigueur,
Quelques uns s'interrogèrent :
Pourquoi, mais pourquoi donc
avait-on aboli le temps ?

Tous les autres se mirent à ramer
©Jeanne Fadosi, mercredi 3 octobre 2024
pour le défi 294 des CROQUEURS DE MOTS
 
En bonus de dernière minute en ce dimanche 6 octobre 2024, une première réponse possible à leur grande question existentielle du pourquoi :