Vot' cap'tain de quart, myself, pour ce défi n°175 des CROQUEURS DE MOTS vous laisse quartier libre pour les poésies du jeudi pour encadrer un défi racontant sur un mode léger, et sans allusion à l'actualité un petit désagrément devenu atout.
Et comme lundi j'ai fait un grand pas de côté, j'ai promis de me rattraper jeudi (aujourd'hui) avec cette fable (authentique). Le résultat a été très efficace même si je garde une certaine appréhension que je domine depuis lors.
Depuis que je sais qu'elles piquent
Sans contrôle je panique.
Depuis qu'elle sait qu'elles piquent
Sans rien contrôler ell' panique.
Nos deux copains goguenards
Pliés en deux de rire se marrent
Même de voir leurs tronches hilares
N'en dérid' pas notre cafard.
Alors songez si un pic-nique
N'a vraiment rien de ludique.
Pour nous les filles, c'est Titanic,
Nos gars s'en gaussent, le rire caustique !
Quand au dessert, gesticulante,
De café sa tasse bouillante
Du geste auguste m'ébouillante,
Je reste figée d'épouvante.
Car dans son bel habit de star
Rayé de jaune, zébré de noir,
Sur mes doigts elle vient boire
Se délectant au doux nectar.
Depuis ce jour de tourmente,
Je me domine, bien consciente
Que si parfois je m'impatiente,
Mieux vaut l'action non violente !
©photo André Lequet |
image empruntée ici ---> avec l'autorisation de son auteur qui a même commenté ce petit texte ainsi :
"J'ajouterais que vous avez tout compris, encore faut-il faire preuve de la maîtrise voulue, en acceptant l'inévitable part de risque. C'est un peu comme avec un chat, bien souvent vous vous griffez vous-même, quand d'un geste réflexe vous retirez votre main."
ALLERGIQUES S'ABSTENIR !
Ah en mode pique-nique, l'été, la guêpe ou les fourmis... on peut s'y attendre, piqué ou mordu n'a rien d'agréable, avec les ailés pas de gestes brusques... comme le dit monsieur Lequet !! Bises
RépondreSupprimerBravo. J'aime... mais je ne la laisserai pas se poser sur ma main.
RépondreSupprimerCoucou Jeanne. Tu viens de de rattraper brillamment en poésie ce matin. Bravo. Je n'aime pas non plus ces bestioles, mais pour moi, le pire ce sont les piqures de frelons. Cet été, cela m'est arrivé, et bon sang de bonsoir, que cela fait mal !
RépondreSupprimerBises et bon jeudi.
Belle chute, la violence engendre toujours la violence !
RépondreSupprimerJ'aime ton auto-dérision et la façon drôlatique que tu as de nous conter ta phobie (partagée par beaucoup) !
RépondreSupprimerJe sais qu'il n'est pas facile d'éviter les gestes violents quand on a une piqueuse près de soi... mais ton photographe a raison, c'est la seule façon de ne pas être piqué.
RépondreSupprimerBises et douce journée Jeanne.
une leçon et le plus souvent c'est avec des erreurs qu'on apprend...
RépondreSupprimerAh, Jeanne, sourire poétique pour une réalité piquante, en effet ! Comme ces garçons ont-ils pu rire, les vilains ! Le photographe a raison, en effet. Bises.
RépondreSupprimerC'est la bonne attitude dit-on de ne pas bouger mais hum je ne sais pas quand même si je serais restée stoïque! Bravo Jeanne. Chloé
RépondreSupprimerS'il n'y en a qu'une ça va je serai capable de l'ignorer , par contre à plusieurs je ne dis pas que je resterai calme . J'ai eu une fois la malchance d'en avoir une bonne vingtaine à mes trousses Nérau mon chien avait fait tomber un nid , elles ont visé directement le bipède plus haut que le chien . Quand elles te piquent sur la tête en nombre , c'est directement la case docteur .
RépondreSupprimerBon week - end
Bisous
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