Je n'ai plus de mots
Est-ce le doigt du diable ?
alibi dérisoire
d'un immonde festin.
Je n'ai plus de mots.
©Jeanne Fadosi, mercredi 14 décembre 2016
pour l'herbier de poésie 60
à voir chez Adamante
photo Susi S |
Ces ruines me renvoient à celles que j'imagine d'Alep où des hôpitaux ont sciemment été visés et bombardés par le détour des ruines du sanatorium d'Aincourt dans le Vexin et d'un livre que je viens de terminer : Un paquebot dans les arbres de Valentine Gobi
Le billet de Nicole Ferroni (à écouter jusqu'au bout)
Bonjour Jeanne,
RépondreSupprimerIl est vrai que , vu sous cet angle, on ne peut que penser à Alep, à Guernica et tant d'autres lieux chargés de douleurs.
Tes mots sont très émouvants.
Bises
Coucou Jeanne,
RépondreSupprimerBeaucoup d'émotion dans la voix de Nicole Ferroni en fin de billet. Que c'est moche la guerre !
Bises et bon vendredi.
Je te comprends Jeanne, il y a ruine et ruine, celle que les hommes font est intolérable et pourtant, ça continue encore et encore... bises
RépondreSupprimerTristesse et désolation
RépondreSupprimersur les incohérences humaines
l'âme pleure
Coucou Jeanne
SupprimerPas réussi à trouver l'emplacement commentaire... J'espère que tu vas me lire ?
J'ai écouté jusqu'au bout la chronique émouvante de Nicole Ferroni... que ton billet illustre si bien ! Très dur ! Une situation qui n'aurait jamais dû naître... une guerre incohérente qui fauche toute une population... dans une indifférence générale ... sauf aux heures des repas devant la dure réalité assenée par la télé... Honteux, on baisse la tête... on mange sa soupe et on se tait !!! Mon Dieu que c'est dur !
Merci Jeanne
Bisous
Luciole
ah oui j'ai bien trouvé ton commentaire. L'emplacement s'affiche en bas des commentaires, quelquefois il est un peu long à s'afficher, c'est vrai tout dépend du débit internet. Je ne crois pas qu'il y ait "indifférence générale", du moins mon entourage n'est pas ainsi, mais nous nous sentons tellement impuissants ...
SupprimerSe taire ou dire. Je sais bien que ce ne sont que des mots, mais ils circulent et je fais ma part.
La vie par ailleurs continue ailleurs avec pour chacun ses petits et grands soucis.
J'entends des voix qui s'indignent et je ne me sens pas si seule. Démunie car à mon niveau je n'y peux rien.
Comment trouver les mots en effet en voyant la désolation d'Alep. C'est monstrueux la guerre. Le vivant en est révulsé. Mais je retiens une phrase d'espoir entendu devant les ruines "Nous avons déjà reconstruit, nous recommencerons". Belle soirée, Jeanne, et merci.
RépondreSupprimerJ'avoue ne pas comprendre et me révolter devant les destructions massives, les tueries...
RépondreSupprimerIl n'y a pas d'alibi. Dieu ou le diable n'y sont pour rien. Seul l'homme est coupable dans sa soif de pouvoir et sa violence.
Ton poème est très beau.
I am truly grateful to the owner of this site who has shared this
RépondreSupprimerenormous piece of writing at here.
I used to be suggested this web site by way of my cousin. I'm no
RépondreSupprimerlonger positive whether or not this post is written through him as
no one else realize such precise approximately my trouble.
You're amazing! Thanks!