La lune éborgnéedrapée telle une madonedans les plis bleus de la nuitmesure son impuissanceUn guerrier deboutsur combien de corps vaincussous son arroganceEst sourd à leurs plaintes vainesdans l'Histoire qui bégaie
Les commentaires sont modérés. Merci de patienter, je ne les valide pas toujours à la minute ni même quelquefois à la journée.
Certains rencontrent des difficultés à renseigner leurs liens voire ne peuvent plus commenter du tout sur blogger (un problème irrésolu depuis des mois) : vous pouvez signer votre commentaire de votre nom ou pseudo, merci
Comments are moderated. Thank you for your patience, I don't valide them immediatly.
anonymous comments are never validated except if they are signed in the text.
L'histoire des hommes est semée d'effrois.... merci Jeanne, bises
RépondreSupprimerL'Histoire bégaie encore et toujours mais l'étoile brille aussi pour ceux qui veulent bien la voir...
RépondreSupprimerEn effet, on pourrait penser à une Madone protégeant son enfant, le guerrier nous fait peur car son glaive est toujours prêt à meurtrir et c'est tellement inimaginable, impensable et pourtant vrai...
RépondreSupprimerJoyeuses fêtes Jeanne
ton poème est très beau. Ah les hommes guerriers nous font trembler. Bises
RépondreSupprimerLe guerrier détruit ce que l'amour a enfanté, aveugle et sourd, jusqu'à l'instant où, peut-être, une lumière traversant les ténèbres vient transpercer sa nuit et le transfigurer. Il ne faut jamais perdre espoir.
RépondreSupprimerCe drapé bleu aurait pu engendrer la lumière mais une partie du monde semble y être insensible en préférant jouer avec la vie des hommes.
RépondreSupprimerJe n'ai pas osé envoyer mon petit poème à Adamante car je suis très en retard mais je te remercie d'y avoir pensé.