Seascape, Peder Balke, about 1860 Photo: Asbjørn Lunde, New York |
Les berceaux, de Sully Prudhomme Clic --->
mis en musique par Gabriel Fauré Clic --->
Les déferlantes, roman de Claudie Galay Clic --->
Chaque jour je n'oublie pas Anne-Sophie et ses compagnes d'infortune
145 en 2010 ; 122 en 2011 ; 148 en 2012 ; 121 en 2013 ; 118 en 2014 ; 122 en 2015, 123 en 2016, encore 123 en 2017, 121 en 2018 ? 101 femmes depuis le 1e janvier 2019 en France (2 septembre 2019) , soit une femme tous les deux jours ! accélération ou meilleure visibilité ?
(clic sur le lien pour comprendre ... un peu)
Seascape, Peder Balke, about 1860 Photo: Asbjørn Lunde, New York |
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Joli. Douloureuse attente des femmes de marins. Bon week-end. Bisous
RépondreSupprimerOh oui Jeanne, mère, épouse, enfant... ça tremble dans la tempête tout comme le marin sur le flot déchaîné ! Merci bises
RépondreSupprimerCoucou Jeanne,
RépondreSupprimerQuel beau tableau qui t'a inspiré ces belles lignes et surtout l'inquiétude des mères qui savent leurs fils pris dans la tempête !
Bises et bon vendredi
http://zazarambette.fr
Femmes courageuses qui tiennent la maisonnée pendant que son homme tient la barre !
RépondreSupprimerMa participation cet après-midi sur mon blog...
Je t'ai lu chez Admante et j'ai beaucoup aimé.
RépondreSupprimerMerci, Jeanne.
Bises et douce journée.
J'aime bien moi aussi l'interprétation d'Yves Montand. Je ne la connaissais pas. En revanche, je connaissais celle de Patricia Petibond, une de mes Chouchoutes !
RépondreSupprimerJ'aime bien ce parallèle entre le balancement des flots, et celui des berceaux ....
Les mères, les femmes et les enfants attendent toujours celui qui doit rentrer et quelquefois dans l'angoisse. Eux n'ont pas ce sentiment, ils n'en ont pas le temps. Après oui lorsque le calme est revenu.
RépondreSupprimerMerci pour les liens Jeanne.
Bon week-end
violence du combat, violence de l'attente
RépondreSupprimerMerci pour ce très beau texte et ces liens enrichissants.
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