Cette journée avait été ensoleillée et douce.
Un aller à Paris par le RER sans fausse note. Train à l'heure. A l'heure à mon rendez-vous. Déjeuner sympathique et savoureux.
Une visite au musée Guimet à la découverte de merveilleux kimonos.
Avec une interrogation restée sans réponse. Comment était-on dessous (nu ou avec d'autres vêtements et lesquels ?)
Au retour, le train s'est enfoncé dans le mauvais temps.
Aussi vaillant que le petit cheval de Paul Fort, il m'a mené à bon port.
Me laissant juste apercevoir entre les gouttes, le quotidien morose des millions de voyageurs qui subissent ces trajets tous les jours et par tous les temps.
©Jeanne Fadosi,mercredi 24 mai 2017
pour l'herbier de poésie 77
à voir sur la page 77 de l'Herbier de Poésies
P77-apparition |
gare de banlieue sous l'orage |
Tiens comme pour le kilt, même question !!!!! ;-) C'est plus agréable de prendre le train par plaisir parfois que par obligation professionnelle tous les jours de la semaine, pas vrai Jeanne, même si le mauvais temps... merci, bises
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup ce récit d'un voyage en train jusqu'à Paris. En plus il me rapoelle la galère des transports en commun pour aller travailler depuis la grande banlieue. C'est de pire en pire, il faut du courage. Beau week-end et à lundi. Bisous.
RépondreSupprimerLes transports en communs, quelle galère et dans ton texte la morosité des voyageurs ne pouvant pas faire autrement ressort bien. Merci Jeanne.
RépondreSupprimerBises et bon vendredi
Entre plaisir, interrogation et monotonie obligatoire, des vies qui se croisent sans vraiment se rencontrer...
RépondreSupprimerC'est vrai que c'est un quotidien pas si facile...
RépondreSupprimerJe n'ai pas eu longtemps à le vivre, ayant choisi de quitter un emploi bien rémunéré mais bien trop loin de mon domicile.
J'aime énormément ta participation à l'Herbier.
Bises et douce journée.
J'aime ces textes où la pensée suit le chemin que l'on emprunte pour nous livrer les impressions de l'instant.
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