Bon d'accord, c'était pour le défi n°58 et il n'est pas dans la liste !
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Chaque jour je n'oublie pas Anne-Sophie et ses compagnes d'infortune
145 en 2010 ; 122 en 2011 ; 148 en 2012 ; 121 en 2013 ; 118 en 2014 ; 122 en 2015, 123 en 2016, encore 123 en 2017, 121 en 2018 ? 101 femmes depuis le 1e janvier 2019 en France (2 septembre 2019) , soit une femme tous les deux jours ! accélération ou meilleure visibilité ?
(clic sur le lien pour comprendre ... un peu)
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Merci d'avoir participé.
RépondreSupprimerl'idée est bonne et me permet de ne pas faire d'effort d'écriture en ce moment où je suis prise par d'autres tâches. Merci de tenir fermement la barre de la coquille aussi
SupprimerDesnos, ton poème arrive à point pendant le Printemps des poètes ou Bérimont et Desnos sont à l'honneur...
RépondreSupprimerah oui c'est vrai. En même temps j'avoue ne pas connaître Bérimont
Supprimerah oui c'est vrai. En même temps j'avoue ne pas connaître Bérimont
SupprimerC'est le genre de poème que j'aime beaucoup. Quel talent Desnos. Merci
RépondreSupprimerdu talent et du courage sans témérité en cette période où il aurait été inutile de braver les nazis plus frontalement
SupprimerL'un des poèmes qui revenaient souvent dans les cahiers de poésie...
RépondreSupprimerMerci, Jeanne.
Bises et douce journée.
là est-ce l'ancienne institutrice qui commente ? bises et belle journée
SupprimerBonjour Jeanne, ah mais ces "fous"-là, je les rejoins volontiers ! Très bonne idée, ce poème "grammatical" de Robert Desnos qui donne envie de le chanter, merci ! Bises.
RépondreSupprimerd'ailleurs, sont-ils si fous ??? bises
SupprimerHouhou, tout ça m'interpelle comme une comptine entêtante!
RépondreSupprimermoi aussi et c'est ce qui a induit mon choix
SupprimerBelle reprise que ce défi. En 2011 je ne participais pas encore, je connaissais, mais je n'y pigeais rien lol!!! Qui aurait pu croire que ce serait moi qui reprendrai cette communauté ;)
RépondreSupprimerMerci Jeanne pour cette immersion dans le passé.
Bisous.
Domi.
je ne sais pas si je connaissais ton blog à l'époque. Le coquille des croqueurs vit et évolue tout en gardant ses manières et son rythme. Merci de ton investissement dans cette croisière aux mots bises
Supprimerchouette chouette... Desnos j'aime sans restriction ! ce n'est pas moi qui te chercherait des poux !
RépondreSupprimerjolie fable et belle découverte
RépondreSupprimermerci
bises et bonne journée