Pour une nouvelle page de l'Herbier de poésie sur une peinture de Franz Marc
Le voile des apparences
Début des années 1900
Le soleil vert a endormi le petit cheval. Son imaginaire met de la couleur dans ses rêves ou sous les poils de soie de l'artiste peintre. Le monde est si laid que pour lui survivre et échapper à sa folie, il déserte le monde des humains, puis même les animaux.
Début des années 2000
L'enfant de la ville ne connait que des chevaux par écrans interposés. A l'autre bout du monde l'un des derniers enfants des steppes apprend, sous l'œil tendre et sévère de son père, à dompter les derniers chevaux sauvages.
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L'enfant des villes Jeanne, c'est à travers la foire agricole qui monte à Paris, qu'il découvre émerveillé le monde de la ferme ! Merci pour la vidéo ! Bises
RépondreSupprimerJe trouve ton texte en parfaite harmonie avec ce joli tableau moderne. Belle semaine et bisous
RépondreSupprimerLe cheval n'a pas perdu de son prestige, fort heureusement, par contre, dans nos campagnes, les tracteurs et autres engins agricoles l'ont remplacé, en intensifiant ainsi les rendements et détruisant la biodiversité.
RépondreSupprimerLe cheval est devenu un animal de loisir, de sport et de luxe, ne permettant pas aux enfants déshérités d'accéder à ce sport.
Bises et bonne semaine Jeanne
Superbe !
RépondreSupprimerJ'aime énormément le tableau et les mots que tu lui as donnés.
Merci, Jeanne.
Passe une douce journée.
Merci pour la vidéo !
RépondreSupprimerLe cheval malgré reste l'ami de l'homme et l'un par l'autre essaie de se retrouver en son humanité !
Une tres belle interprétation de cette toile , j'aime la façon dont tu as mis en scène le cheval et son intériorité .
RépondreSupprimerMerci beaucoup pour cette vidéo sur Franz Marc qui avait bien pressenti toute l'horreur de la première guerre mondiale .
Bonne journée
Bises
Bonsoir Jeanne,
RépondreSupprimerCe tableau, qui m'a bien plu, porte à rêver.Cela se ressent dans ton très bel haïbun ainsi que dans les autres participations. Et avec cette actualité pas géniale, c'est un besoin.
J'ai adoré! Merci Jeanne
Bises
Bravo Jeanne, défi magnifiquement relevé ! Peinture honorée par tes mots !
RépondreSupprimerDouce soirée,
Bises♥
Bonsoir Jeanne,
RépondreSupprimerJe vais garder la belle image de l'enfant des steppes et des derniers chevaux sauvages si fiers et beaux dans l'immensité de leur milieu naturel!
Je te remercie de t'être attardée "sur mon sentier " à l'odeur d'iode et d'embruns floconneux.