Retour à Victor Hugo avec autre guitare (le titre est de l'éditeur)
Comment, disaient-ils,
Avec nos nacelles,
Fuir les alguazils ?
— Ramez, disaient-elles.
Comment, disaient-ils,
Oublier querelles,
Misère et périls ?
— Dormez, disaient-elles.
Comment, disaient-ils,
Enchanter les belles
Sans philtres subtils ?
— Aimez, disaient-elles.
Les Rayons et les Ombres, XXIII Ollendorf, 1909, 17 (p. 609).
Kandinsky, Jaune, rouge, bleu, 1925 |
Magnifique partage, Jeanne !
RépondreSupprimerBon et beau mardi,
Bises♥
Un petit prodige cette gamine. Je viens de passer un moment très agréable. Merci Jeanne
RépondreSupprimerJe ne sais pas si c'est un prodige. J'espère qu'elle éprouve d'abord le bonheur de jouer cette musique et qu'on en fait pas un enfant savant à exhiber. Le morceau en lui-même est accessible à un enfant de huit ou neuf ans et c'est vrai qu'elle y ajoute une âme.
SupprimerUn joli poème et des conseils bien utiles :)
RépondreSupprimerJe ne supporte pas la musique mais j'aime beaucoup ce poème. Toujours en pause estivale jusqu'au 5 septembre. Bisous
RépondreSupprimeroui tu l'as souvent dit mais tu aimes bien certaines chansons. La musique n'adoucit pas toujours les mœurs non plus ... bises
SupprimerJe regarde toujours ce tableau... avec tant de pensées en arrière plan que j'ai du mal à écouter la musique. Merci de me le montrer autrement...
RépondreSupprimerhttps://quichottine.fr/2007/11/vassilykandinsky.html
https://quichottine.fr/2007/11/13618787.html
Oh Quichottine, c'était une époque où je n'avais pas encore Internet et je ne connaissais pas ton blog. Je suis désolée d'avoir en choisissant ce tableau si joyeux pour moi ravivé la douleur de l'absence. Je comprends que tu ne puisse écouter la musique.
RépondreSupprimerJ'aime ce tableau si plein de vie et de pistes. Pour cette guitare dessinée avec légèreté par Victor Hugo, j'ai trouvé dans ce tableau une guitare dansant et jouant avec les couleurs de la vie.
bises
Tu as raison, la guitare était bien là. :)
SupprimerMerci, Jeanne.