Réédition (mise à jour) de mon billet du 29 mai 2011
et à leurs mères, leurs sœurs, leurs filles ...
A Nadia, à Mimi, à Catherine, à Marie, à Odile, à Mimi
A Christiane, à Nicole, à Claude,
Aux Mères de la Place de mai, aux Mères de Srebenica, de Sajarevo, de Mostar et d'ailleurs ...
Aux Mères de Syrie, aux Mères d'Afghanistan, aux Mères de Marioupol et de Boutcha et de toute l'Ukraine, ...
Aux Mères d'Uvalde et de Tivaouane dans l'ouest du Sénégal
Aux Mères errant sur la Méditerranée, aux survivantes des naufrages, ...
"Pigiste depuis sept ans pour BFMTV, le journaliste reporter d'images tué alors qu'il couvrait une évacuation de civils en Ukraine est décrit unanimement comme un professionnel réfléchi, souriant et humble"Sa mère témoigne :
" «Sachez que jamais vous ne réussirez à salir sa mémoire.» Après les accusations des forces séparatistes russes de Lougansk, le qualifiant de «mercenaire étranger», «complice des forces d'extrême droite», sa mère, écœurée, a témoigné dans un message retranscrit par BFMTV. «Votre communiqué me donne la nausée, écrit-elle. Tout le monde ici connaît son engagement professionnel et personnel pour la démocratie, le respect humain et surtout une information libre, impartiale et honnête, toutes notions qui semblent bien éloignées de ce qui vous anime.»"
«Malgré la douleur, je sais pourquoi mon fils est mort, poursuit-elle. Un jour, les véritables responsables de cette absurdité criminelle devront rendre des comptes.»
"La mère de famille conclut par «une pensée pour «toutes les mères ukrainiennes qui pleurent leurs enfants, tous les enfants ukrainiens qui pleurent leurs parents et toutes les mères russes qui ont vu trop tôt leurs jeunes partir soldats, qui ne les reverront pas et qui se demandent pourquoi.»"
Aux Mères de tous les pays où les fils, des enfants quelquefois, servent de chair à canon,
Aux Mères qui voient avec effroi leurs enfants s'égarer.
Aux Mères humiliées, aux Mères aimantes, malgré le pire, sans aveuglement, telle la vieille jasante.
"la petite dernière"
à plus de trente ans d'intervalle.
La dernière photo a elle-même une vingtaine trentaine d' années.
(L'horloge du temps est imperturbable)
ci-dessous 3e réédition pour la fête des mères, de mon billet de 2014 (1ère réédition 31/05/2015, 2e le 29 mai 2016)
parce que je n'avais pas le courage d'en faire un nouveau lors de la précédente réédition de 2018
Affiche de Félix Régamey, 19061 |
Bâtiment de la Société des crèches municipales du XIVe arrondissement de Paris, 1898 |
merci de penser à toutes les mères. Le temps ne s'arrête pas; c'est vrai. Bises
RépondreSupprimerVoici un billet très touchant
RépondreSupprimerMerci
Que cette semaine te soit agréable
Bises
Un beau texte ;il faut penser toutes les mères du monde, en effet. Jolies photos; le temps passe trop vite ....
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