"Il me semble revenir de très loin Grand-père. de plus loin que ma peine. Hier, le ciel s'est lavé de son eau, la nuit était magnifique. Ce matin, bouvreuils et mésanges chantent dans le pommier, ils fêtent le retour du soleil."Ici aussi le soleil est apparu ce matin de marché, pâle et presque aveuglant avant d'autres averses. Je ne sais pas comment était la nuit mais les oiseaux ne sont pas venus chanter.
[...]
..." des mots portés par le souffle du vent m'arrivent :
[ ... ]
« Douceur et tendresse, il ne faut rien de plus pour que naisse la vie.
[ ... ]
Aujourd'hui c'est le vent qui me porte mais ce pourrait être l'eau, la terre, le bois, le feu ... Je suis dans tout si tu n'es pas si tu ne te fermes pas dans ton chagrin. Souris ! J'aime ton sourire tu sais ! »
[ ... ]"
Je l'ai lu en parallèle avec Le livre de ma mère d'Albert Cohen. Autant dire pour Adamante que la comparaison allait être rude avec ce chef d'oeuvre. Malgré ce handicap majeur, ma lecture de Romano a tenu la gageure.
Alors promis, je le relirai encore avec grand plaisir sans une concurrence de cette pointure.
Romano présenté sur Le Chant du souffle, le blog d'Adamante |
Oh ! Jeanne ! Voilà que je ne sais plus que dire. Merci de cette si belle présentation qui me touche beaucoup. Merci, me voici à court de mots.
RépondreSupprimerMerci... tu me rappelles que je ne l'ai pas encore commandé...
RépondreSupprimerJe vais le faire à l'instant.