Le pinceau l'arrache à la pesanteur parmi les fleurs de la prairie. Il n'était pas fait pour ça. Ce n'était pas du courage, juste de la docilité. Plus jamais, il ne guidera la foule triste des refoulés.
![]() |
Martiros Hakopian - love 8 - |
Bouches cousues ; 24 heures photo 2016 - 09 (depuis, j'ai juste posé les masses, sans doute encore trop figuratives)
C'est joli. Poésie et tableau. Bon Mardi.
RépondreSupprimerAh tu y as vu du cheval aussi... ;-) ses basses besognes, il n'est pas cheval de course partout, merci Jeanne, bises de jill
RépondreSupprimerPuisse la prairie pouvoir fleurir pour tout un chacun !
RépondreSupprimerC'est une magnifique interprétation du tableau.
RépondreSupprimerMerci pour le partage, Jeanne.
Bises et douce journée.
Bravo Jeanne pour cette interprétation poétique de ce beau tableau.
RépondreSupprimerBises et bon mardi !
J'ai apprécié ton texte Jeanne, merci
RépondreSupprimerBonne journée
Un cheval aux sabots de feu!
RépondreSupprimerTrès jolie ta particiaption.
Bises