En cette pause accordée aux CROQUEURS DE MOTS par sa Cap'tain Dômi qui s'en va jouer sur scène, je reviens sur d'anciens billets écrits lors d'autres pauses. Ce poème avait été mis en ligne dans mon alphabet en poésie de l'été 2012.
J'y notais :
"Le Jeu, si étroitement lié à la nature du vivant*, si nécessaire à sa construction, son institution**, si ambigu aussi dans son rôle social ..."
"je suis allée sur mon premier blog relire le dit poème que j'ai trouvé tellement raccord avec ce qui se profile de ce que nous sommes en train de vivre dans le ventre de l'Histoire."
2. poème mis en ligne avec l'aimable autorisation de l'auteur** "à condition de respecter l'intervalle entre les strophes et de reproduire le texte dans son intégralité."
* j'avais d'abord écrit la nature humaine. Au même instant s'imposait à moi les heures d'observation de la petite tribu de chiots dont j'ai eu la charge à l'été 2010, comme les folles parties d'un chaton d'amis en 2012.
** institution, comme ce beau mot d'instituteur, remplacé il y a une vingtaine d'années en France par PE (quelquefois complété par 1 ou 2) raccourci moderne de professeur des écoles.
Excellente rediffusion Jeanne !
RépondreSupprimerJe profite de cette pause Croqueur de mots pour parfaire d'autres défis proposés par des copinautes et pour ce matin, je me suis éclatée en mettant à l'honneur, le Penseur de Rodin.
Bises et bon jeudi - Zaza
J'ai plus joué au jeu de dames ;-) merci, bon jeu'di...
RépondreSupprimerUn jeu de poker menteur en effet en ce moment et qui fait bien des victimes .
RépondreSupprimerMerci le poème d'Esther Granek .
Bon jeudi
Bises
La les règles du jeu sont claires. Par contre les règles politiques sont mouvantes et peu claires. Bises.
RépondreSupprimerTu as bien fait de publier cette page.
RépondreSupprimerPoker menteur, c'est tout à fait ça.
Merci pour tout, Jeanne.
Bisous et douce journée.
Quand la cruauté d'un dictateur se joue de la vie même d'un nouveau-né, tous nos repères sont balayés et la folie n'est pas loin...
RépondreSupprimerJ'aimerais tant qu'on lui casse son jouet !