Telles ses ballerinesdes talons pour la grandirle jour de leur vie.La folie des puissants en a décidé autrement. Elle a dû rejoindre sa grand-mère impotente pour tant bien que mal s'occuper d'elle. Il s'est enrôlé dans l'armée pour défendre son pays.Si leur vie survitun long dimanche de fiançaillesles fera attendre.D'autres souliers, d'autres histoires. Renoncement aux bals et aux banquets. Sans habits de cérémonie. Des maires en gilets pare-balles prononcent des unions dans la sobriété et la précipitation. En est-il de même de l'autre côté ?Unis pour la vieséparés dans l'engagementMaudite soit la guerre.
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Doris Salcedo Atrabillarios, 1992-2004, chaussures, mur, bois, fibres animales. Musée d'Art contemporain de Chicago - Détail. |
Oui Jeanne maudit soit la guerre, celle d'hier, d'aujourd'hui et de demain encore, bises jill
RépondreSupprimerQuand la guerre tue les projets aussi. Puisse telle se marier bientôt. Bises
RépondreSupprimerMaudite est la guerre Jeanne, c'est bien cela !
RépondreSupprimerBises et bonne soirée - Zaza
Unis pour la vie
RépondreSupprimerséparés dans l'engagement
Maudite soit la guerre.
Oui, hélas, Jeanne !!! Quelle tristesse, que la guerre !!!
Bon mardi,
Bises♥
Ce jour de joie préparé si longtemps à l'avance sombre dans le cauchemar de la guerre; mariage à la sauvette avec toute l'incertitude de pouvoir vivre ensemble ou de survivre à l'horreur.
RépondreSupprimerMerci pour ce beau texte Jeanne.