Pour une nouvelle page de l'Herbier de poésie
FélinesInvisible aux autresregard aigu de félineQuelques minutes hors les murspour des denrées de survie.Par delà la mermarché bien achalandéd'un pays en paixchat bleu sur une frimoussede fillette sans soucis.Tantôt sous son masqueelle est retournée en classeignorant son privilège.Là-bas de nouveaufilles et femmes empêchéesde se cultiver.
©Jeanne Fadosi, vendredi 12 novembre 2021
à découvrir à partir de lundi 15 novembre
avec les autres brins sur la page 184 de l'Herbier
Dessin Adamante |
Un là-bas tjs d'actualité, pauvres femmes soumises....
RépondreSupprimerBonjour Jeanne,
RépondreSupprimerOui, des masques, des voiles des femmes qui ne peuvent vivre sans la crainte qui les prend au ventre...
Même si notre pays n'est pas parfait, quand on regarde vers ces autres états, on est bien content d'être ici.
Très belle page Jeanne
Tes mots m'évoquent les Femmes grillagées de P.Perret. Et aussi Les Hirondelles de Khaboul de Yasmina Khadra. J'ai lu le livre mais n'ai pas vu le film ...
RépondreSupprimerTout ça dans le regard lumineux du chat d'Adamante.
Là-bas les femmes sont de nouveau cloitrées et je ne sais même pas si elles peuvent se risquer à sortir juste pour le ravitaillement. La fillette au masque d'animal qui l'arborait fièrement il y a un an au marché allait bientôt devoir le mettre en classe mais du moins pourrait-elle aller en classe
SupprimerFélines mais nous autorisées à jouir de leur féminité !
RépondreSupprimerBises Jeanne
elles doivent être féminines pour leur époux, triste monde
SupprimerUn privilège qui ne devra pas être réservé qu'à une partie de l'humanité. L'école une nécessité que des obscurantistes essayent de mettre à mal.
RépondreSupprimerBien pensé Jeanne pour cette image.
Bonne journée
Bises
l'école certes, mais pas n'importe laquelle, celle qui donne des pistes pour une liberté de penser pas toutes celles qui endoctrinent
SupprimerDerrière les masques quoi qu'ils soient des femmes, pour quel avenir ???
RépondreSupprimerApprendre, apprendre sans compétition, dans l'accueil des différences pour un monde différent. Un jour cela sera.
RépondreSupprimerUne belle interprétation Jeanne, pour certaines frimousses certains masques sont lourds à porter !
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