Sous la caresse du soleil
le soleil déchire le voile
des brumes lactées des Lofoten
Dans l'aurore qui s’accroche au jour.
parenthèse virginale
d'une nuit sans fin.
La main d'une déesse nourricière
a offert au nouveau-né
ivre de vivre mille vies encore
cette douce vestale de sable.
Ses tétons généreux
sont des grelots de rires
loin de la fureur
d'un monde crépusculaire.
©Jeanne Fadosi, mercredi 14 novembre 2019
à découvrir le vendredi soir ou le samedi
avec les autres brins sur la page 153 de L'Herbier
|
Cette forme a tout l'air d'une nourrice généreuse… Ici aussi, bravo !!!
RépondreSupprimerah oui le dessin est éloquent ... bises
SupprimerJ'ai lu tes deux textes, Jeanne ! Je comprends ton hésitation à choisir ! Ils sont superbes tous les deux. Moi, je choisis les deux pour toi!!! Bon vendredi ! Bises♥
RépondreSupprimermerci colette, l'image était inspirante
SupprimerTrès beau poème sur une superbe photo. Bon weekend. Bisous
RépondreSupprimermerci belle fin de semaine à toi aussi
SupprimerBonjour Jeanne,
RépondreSupprimerMerci pour ta suggestion et la découverte de ce talentueux photographe. Je me suis promenée parmi ses pages d'un faste absolu.
Son cliché t'a inspiré deux merveilleux poèmes. J'ai pris de mon côté un grand plaisir à écrire sur sa photo.
Bravo Jeanne et bon we
Bises
;)
et j'ai pris beaucoup de plaisir aussi à lire ton texte et ceux des autres brins de cet herbier magique
Supprimerbises
C'est un très beau texte Jeanne, bravo.
RépondreSupprimerBises et bon vendredi
Sur une photo si étrange et si belle ...
Supprimermerci à toi
Superbe interprétation de cette photographie . Je vois qu'il y a un autre texte j'y cours
RépondreSupprimer