Brassens, Bonhomme, 1958
Chaque jour je n'oublie pas Anne-Sophie et ses compagnes d'infortune
145 en 2010 ; 122 en 2011 ; 148 en 2012 ; 121 en 2013 ; 118 en 2014 ; 122 en 2015, 123 en 2016, encore 123 en 2017, 121 en 2018 ? 101 femmes depuis le 1e janvier 2019 en France (2 septembre 2019) , soit une femme tous les deux jours ! accélération ou meilleure visibilité ?
(clic sur le lien pour comprendre ... un peu)
vendredi 1 novembre 2019
La vieille
Brassens, Bonhomme, 1958
11 commentaires:
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La bague au doigt est une autre forme d'emprisonnement, si libérée du joug du père elle aura obéit à un autre homme… ;-)
RépondreSupprimercomme c'était presque toujours le cas encore en 1958 et comme c'est encore trop souvent le cas ...
SupprimerPorteuses de fagots en sabots, un temps révolu, les heures ne s'écoulent plus de la même façon. Nostalgie et belles images. Merci, Jeanne.
RépondreSupprimerBravo Jeanne ! Défi magnifiquement relevé !
RépondreSupprimerBon vendredi,
Bises♥
Il y a toujours un moment où l'on s'interroge sur le pourquoi de nos vies, sur les rêves oubliés.
RépondreSupprimerLiberté ? Je crois que nous en rêvons tous un jour, mais, en vieillissant, nous devons faire un constat : nous sommes seulement libres de choisir, parfois, entre deux maux le moindre.
Je t'embrasse, passe une douce journée.
Illusions envolées
RépondreSupprimerassumer sa vie
en courbant le dos !
Ses illusions sont les étincelles qui crépitent au dessus de tous les feux qu'elle a allumés avec les bois morts de sa vie...
RépondreSupprimerUn article très fourni. Le poème est mélancolique mais c'est normal : les personnes âgées le sont car elles ont vu disparaître leur vie d'avant et les personnes qu'elles ont connu. J'ai encore la soeur de ma mère, 87 ans, et son mari, 89 ans, chez eux et autonomes, c'est une chance de pouvoir vivre dans sa maison si longtemps. Bonne journée et bises.
RépondreSupprimerC'est comme si cette vieille n'avait que des regrets. Que c'est triste de finir sa vie de cette manière, ne pas avoir de joies à se souvenir. Le reste, c'est la vie comme elle était.
RépondreSupprimerUn beau texte Jeanne
bonsoir fadosi
RépondreSupprimerMerci pour ton passage
j 'aime ton texte il est net et vrai
c'est étrange j 'ai écrit mon article sur la femme battus
les grands esprit se rencontre
poutou du soir
Un constat amer avec ce poème , de deux maux faut il choisir le moindre , liberté liberté chérie n'est ce donc qu'une utopie ?
RépondreSupprimerJe ne connaissais pas cette chanson de Brassens , merci .