Chaque jour je n'oublie pas Anne-Sophie et ses compagnes d'infortune
145 en 2010 ; 122 en 2011 ; 148 en 2012 ; 121 en 2013 ;118 en 2014 ; 122 en 2015, 123 en 2016, encore 123 en 2017, 121 en 2018 ? 101 femmes depuis le 1e janvier 2019 en France (2 septembre 2019) , soit une femme tous les deux jours ! accélération ou meilleure visibilité ?
Il a surgi de l'onde, œil affûté sur le monde, poisson lune ou poisson chat. Ide* d'eau douce ou raie mantra*. Il aimerait vous crier les cimetières des fonds marins. Il le dit avec ses couleurs. Il le dit avec sa danse. Il a bondi sa révérence pour épater le vidéaste. Il a enluminé la falaise, hors de son liquide primordial.
Une interprétation que j'ai relu plusieurs fois, mon premier regard a été tellement différent qu'il faut que j'intègre ta vision... J'aime le désir profond d'un sursaut d'humanité !
maintenant que tu me l'a suggéré, j'y vois bien la chouette aussi. Quand au saut d'un poisson, c'est drôle comme nos imaginaires réagissent à la lecture des brins d'herbier. D'autres l'ont vu aussi. Rémanence d'autres visions ... ?
Je t'avais lue chez Adamante... J'avoue que je n'avais pas du tout pensé à tout cela. Mais c'était à faire. Merci pour cette page, Jeanne. Passe une douce soirée.
J'ai eu aussi cette vision de poisson en regardant le tableau , superbe interprétation Jeanne , oui la mer devient un tombeau pour beaucoup trop d'espèces et l'homme particulièrement en ce moment . Bises
J'aurais envie de dire, de la naissance à la mort. Que savons nous au fond de ce terrain d'expériences qu'est la vie ? L'œuvre de MarHak exprime bien ce que tu en dis.
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Le fond des mers a ses épaves en tous genres, les poissons s'en accommodent, mais de la pollution c'est autre chose ! Merci, bises
RépondreSupprimerépaves et pas que ... la méditerranée engloutit tant de migrants qui ne parviennent pas jusqu'aux côtes européennes.
SupprimerCourt mais très fort. Beau week-end et à lundi.
RépondreSupprimerBelle interprétation de ce tableau Jeanne. Bravo !
RépondreSupprimerBises et bon vendredi
Une interprétation que j'ai relu plusieurs fois, mon premier regard a été tellement différent qu'il faut que j'intègre ta vision... J'aime le désir profond d'un sursaut d'humanité !
RépondreSupprimermaintenant que tu me l'a suggéré, j'y vois bien la chouette aussi. Quand au saut d'un poisson, c'est drôle comme nos imaginaires réagissent à la lecture des brins d'herbier. D'autres l'ont vu aussi. Rémanence d'autres visions ... ?
Supprimerj'ai vu j'ai Jeanne...
RépondreSupprimerj'aime ta vision et j'y retrouve certaines de mes pensées
un texte peut-être plus plaisant que l'oeuvre.
Coucou Jeanne
RépondreSupprimerUn grand cri vers plus d'humanité responsable ! J'aime !!! En espérant que ce cri vibrera dans tous les coeurs.....
Merci et bisous
Je t'avais lue chez Adamante...
RépondreSupprimerJ'avoue que je n'avais pas du tout pensé à tout cela.
Mais c'était à faire.
Merci pour cette page, Jeanne.
Passe une douce soirée.
J'ai eu aussi cette vision de poisson en regardant le tableau , superbe interprétation Jeanne , oui la mer devient un tombeau pour beaucoup trop d'espèces et l'homme particulièrement en ce moment .
RépondreSupprimerBises
J'aurais envie de dire, de la naissance à la mort. Que savons nous au fond de ce terrain d'expériences qu'est la vie ?
RépondreSupprimerL'œuvre de MarHak exprime bien ce que tu en dis.