Nb pour les commentaires sur les blogs de Blogger, dont le mien pour répondre, je n'ai pas résolu le bug qui m'empêche de commenter
A ma sœur Jacotte
Au clair de la lune
Il n'avait pas besoin du briquet de la voisine, il vivait avec sa colombine. Un soir par semaine, ils allaient danser au son de la vielle quelques quadrille et rigaudon et autres gigouillettes. Il m'est arrivé de les accompagner. De danses en contes, ils en étaient venus à renouer avec les veillées d'antan. De ce temps déjà lointain qui n'était pas rythmé par les programmes télévisés, bientôt enrichis de travaux d'aiguille.
Quelques bûches dans l'âtre,le soir des danses et des contesPierrot souviens t'en !
Une chandelle pour la veilléetoi en blaude, elle en pierrot*.
©Jeanne Fadosi, jeudi 2 mars 2023
pour la page 221 de l'Herbier de poésies
à découvrir avec les autres brins sur la page 221
Acrylique Adamante (une image de mon livre le Faiseur d'Accueil & autre contes) |
ma sœur Jacotte et son mari Pierrot en ????? |
*Le "Pierrot", coiffe typique normande portée par les jeunes mariées à la fin du XVIIIe siècle, début du XIXe siècle. (France 3 Normandie)
Un autre temps Jeanne, mais pas moins désagréable ! Merci, bises JB
RépondreSupprimerUn temps où les gens s'amusaient simplement ; je ne savais pas que cette coiffe s'appelait Pierrot. . Bonne soirée
RépondreSupprimerJe n'ai pas connu les veillées, j'ai eu la télévision vers 1959. J'avais 6 ans et donc je ne me souviens plus comment se passaient les soirées. C'est sympa de nous montrer les 2 photos. Bonne soirée et bises.
RépondreSupprimerUne bougie, une conteuse, une gigue, et voilà revenu un temps plus lent, plus lourd, plus Terre, que la flamme raconte encore.
RépondreSupprimer