et pour toutes les victimes innocentes, tous les survivants
Post scriptum : J'avais joint ces quelques mots quand j'ai envoyé mon poème à Adamante
Le coeur lourd mais vaille que vaille.Adamante les a publiés aussi, accompagnés de ses mots qui peuvent être, qui devraient être, ceux de tous :
J'avais écrit ma participation dans la journée du 14 juillet, pas tout à fait convaincue par la dernière strophe. Ce midi de dimanche ne me souvenant plus exactement des mots écrits, je pensais le mettre à la poubelle comme dérisoire et hors sujet d'actualité.
Mais à sa lecture j'ai sans avoir à réfléchir complété juste les deux derniers vers par "vaille que vaille" et "plus que présent"
"car il est, depuis le 14 juillet, un bord de mer dévasté par le crime, la haine et la bêtise"
Je n'aime pas trop Edouard Munch et ce tableau mais j'aime beaucoup ton poème. Beau Mardi
RépondreSupprimerUn début, une fin et au milieu toute une vie, merci Jeanne, bises
RépondreSupprimerJe t'ai lue sur la page de l'herbier... mais je voulais aussi te dire ici que ce poème et tes mots m'avaient beaucoup touchée.
RépondreSupprimerMerci pour tout, Jeanne.
Passe une douce journée.
Danse macabre d'une nuit où les feux d'artifices sont devenus feux de détresse...
RépondreSupprimerTrois robes, trois moments de vie, bien vus, et l'actualité qui nous laisse sans voix...
RépondreSupprimerj'avais écrit mon texte avant le 14 juillet...je n'y ai rien changé !
RépondreSupprimerJe lis souvent chez Adamante et je laisse passer le temps qui file si vite mais cette fois, je viens "vaille que vaille" te dire merci. Merci qui disent qu'il faut toujours continuer même dans quand l'horreur a frappé.
RépondreSupprimerBon après-midi de retrait Jeanne.
Comme quoi la robe est aussi le symbole des étapes d'une vie!
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