Avec l'indication d'usage que les habitués connaissent par cœur et dont ils peuvent s'agacer. C'est aussi cela transmettre : répéter pour ne pas laisser sur le bord de la route les nouveaux venus ...
Sur les images des sujets des semaines 30-31 et 32 de miletune. A vous de décider* de la découvrir avant ou après la lecture de ce qu'elle m'a inspirée, au croisement d'autres évocations (images support)
- toc toc toc allez viens ma puce, ne fais pas ta mauvaise tête.
Tes cousins vont encore te traiter de chameau. Viens . . .
Nous goûtons tous au jardin sous le pommier.
- J'veux pas y a des guêpes.
- oncle machin y a accroché une balançoire
- J'aime pas oncle machin. Je suis sûre que c'est lui qui toque à ma porte
- il ne te veut pas de mal, juste te faire sauter sur ses genoux, tu sais
- et on va chanter à dada sur mon bidet ?
- Si tu veux et puis hali, halo, et vive le chameau**
- Oh non, non, non ! je ne veux pas faire des arpèges avec son instrument
- ...
- Sérieux, laissez-moi tranquille, je suis trop grande pour jouer aux jeux de petits et trop petite pour les jeux de grands.
- ...
- et j'ai le droit de dire Non.
** Le chameau, chanson enfantine, popularisée par Les quatre barbus dans les années 1950 CLIC
* Les mots lus ne sont jamais tout à fait les mêmes que les mots écrits, y compris quand ils sont relus par leur auteur. Les mots impulsés par une image échappent eux aussi, et c'est tant mieux, à un seul déterminisme bi-univoque. Mais il n'est pas gratuit de lire sans voir l'image, ou en l'ayant vu ou en la voyant. Quel que soit votre choix, découvrir l'image support avant ou après, vous ne pourrez remonter le temps pour comparer les expériences.
Le choix de l'une interdit les autres.
Laissons-lui son non Jeanne... un âge entre deux eaux !! Bises de JB
RépondreSupprimerTon dialogue soulève bien des questions.
RépondreSupprimerJe suis d'accord, on a toujours le droit de dire non.
Préservons nos enfants.
Passe une douce journée. Bises.