Pour les jeudis poésiedu 24 septembre, l'électricité dans ses usages purement ludiqueset du 1er octobre, tout autre lien avec l'électricité ou champ libre sans contrainte d'un fil conducteur. (même pas électrique 😏)
En hommage à Juliette Gréco qui est décédée le 23 septembre dernier, un panachage des deux jeudis poésie le piano mécanique des bars étant alors muni d'un moteur électrique et la chanson poème évoquant tout ce que la pandémie covid-19 interdit de faire pour se préserver au mieux et préserver la santé des autres. Je sais que renoncer à ces loisirs ludiques est difficile et angoissant : danser, s'enlacer, s'approcher, se serrer l'un contre l'autre, s'embrasser, mais sagement assis à l'autre bout du comptoir on pourrait encore se regarder dans les yeux, développer des trésors de nouvelles mimiques passant par le regard ...
Je sais l'angoisse de celles et dont c'est le gagne-pain mais quand resterait-il de toutes manières après avoir dansé avec ce diable de virus ? Avons-nous vraiment le choix que de nous protéger les uns les autres en attendant l'extinction de la pandémie ou notre accoutumance ?
Allez, portez-vous au mieux et prenez soin de vous, de nous de tous ...
Deux très bonnes chansons pour illustrer tes mots Jeanne. Que restera-t-il de notre vie sociétale après l'extinction de cette pandémie ? Bises et bon jeudi
Je ne la connaissais pas cette chanson de Juliette Greco , oui autant de gestes que nous ne sommes pas près de retrouver . Merci aussi pour la complainte du progrès , j'adore . Bonne journée Bises
Merci pour les paroles de la chanson que je ne connaissais pas. Peut être l'ai-je entendue mais ça ne me dit rien. Des petits bonheurs simples d'une vie disparue car du début du siècle précédant certainement. Bonne soirée et bises.
Je pense surtout qu'on a trop vite levé les barrières. Dommage que certains sont toujours impatients Ces gestes barrières nous permettaient tout de même de continuer à faire nos courses, boire un verre entre amis, manger aux restaurant, voyager, certes avec des restrictions, mais au moins l'économie en souffrait moins que si un nouveau confinement nous était imposé. Cela dit je ne suis pas moins nostalgique des moments décrits dans ces deux chansons. Bisous Jeanne et merci pour ce thème ;)
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Je ne connaissais pas cette chanson. Très bel hommage à Juliette Gréco. Bises
RépondreSupprimerDeux très bonnes chansons pour illustrer tes mots Jeanne. Que restera-t-il de notre vie sociétale après l'extinction de cette pandémie ?
RépondreSupprimerBises et bon jeudi
Je ne la connaissais pas cette chanson de Juliette Greco , oui autant de gestes que nous ne sommes pas près de retrouver . Merci aussi pour la complainte du progrès , j'adore .
RépondreSupprimerBonne journée
Bises
Bravo Jeanne ! Excellent choix, que ces chansons ! J'♥ beaucoup !
RépondreSupprimerBon vendredi tout entier et merci pour le thème !!!
Bises♥
Nous n'avons pas vraiment le choix...
RépondreSupprimerMerci pour ces partages, Jeanne.
Bises (virtuelles) et douce journée à toi.
Merci pour les paroles de la chanson que je ne connaissais pas. Peut être l'ai-je entendue mais ça ne me dit rien. Des petits bonheurs simples d'une vie disparue car du début du siècle précédant certainement. Bonne soirée et bises.
RépondreSupprimerJe pense surtout qu'on a trop vite levé les barrières. Dommage que certains sont toujours impatients Ces gestes barrières nous permettaient tout de même de continuer à faire nos courses, boire un verre entre amis, manger aux restaurant, voyager, certes avec des restrictions, mais au moins l'économie en souffrait moins que si un nouveau confinement nous était imposé. Cela dit je ne suis pas moins nostalgique des moments décrits dans ces deux chansons. Bisous Jeanne et merci pour ce thème ;)
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