Ils sont fort nombreux les mots commençant par c qui se sont bousculés dans ma tête et sur mon pense Bête
Tiens en voilà un nom mis à tant de sauces, bien plus que Animal, trop proche sans doute de anima
Ces bêtes qu'on appelle sauvages
Mais que tu peux être bête ma pauvre fille, une vraie bécassine !
Il va falloir que je revienne à la lettre B
Camp, bien avant le Collège et la découverte de l'horreur des camps de concentration et de l'extermination grâce à des profs formidables, c'était pour la gamine tout juste revenue de ma première colonie de vacances, les récits enthousiasmés de mon frère, assez grand pour aller camper en camp de vacances.
Caravane encore plus, ma grande sœur racontant son camp itinérant à cheval il me semble, à peine moins magique que les caravanes à dos de chameau du désert des pages en couleurs mais pas encore glacées de l'hebdomadaire de ma maman Femme d'Aujourd'hui. Revue que papa lisait aussi avec plaisir et sans la moindre gêne.
"Frania, 92 ans, une rescapée d'Auschwitz voyant un migrant dormir dans un parc,
se souvient de son retour des camps de la mort en 1945. Refusant de revenir en Pologne, son pays natal, elle débarque en France et connaît à Paris la solitude et l’errance dans les rues. La déportée est soudain touchée de voir un homme allongé sur l’herbe d’un jardin parisien… Extrait du magazine "13h15 le dimanche" du 1er juillet."
"Qui mieux que moi peut le comprendre ?"
Et si on se donnait le COURAGE d'essayer de comprendre ?
Effectivement Jeanne, il faut que les jeunes générations se donne le courage de comprendre cette ignominie !
RépondreSupprimerBises et bon mercredi
Ces ignominies Zaza ! Celle du milieu du XXe siècle et celle ou celles qui se font en ce moment
SupprimerComme toujours, tu trouves les mots qui touchent.
RépondreSupprimerEssayer ce serait sans doute réussir.
Il faut se donner le courage d'essayer.
Bisous et douce journée Jeanne.