petit rappel, je suis dans l'impossibilité à cause d'un bug de déposer des commentaires sur les blogs de Blogger. Vous m'en voyez désolée.
J'anticipe jeudi en publiant ce mercredi pour Un deux en un où le poème de Andrée Chedid me semble soudain, en le relisant, si bien illustrer ou l'inverse plutôt l'image 43 proposée par An'Maïn pour son défi Une image des mots
Et toujours l'envie de garder un fil poétique avec ce rendez-vous des CROQUEURS DE MOTS qui est revenu sans ses jeudis ... en prolongeant le thème donné par les Cabardouche pour le défi 301 à mettre en ligne lundi prochain 10 février à la manière du "Je me souviens ... " de Georges Perec et qui nous proposaient de faire l'inventaire de nos souvenirs d'enfance, tels qu'ils surviennent.
Regarder l’enfanceJusqu’aux bords de ta vieTu porteras ton enfanceSes fables et ses larmesSes grelots et ses peursTout au long de tes joursTe précède ton enfanceEntravant ta marcheOu te frayant cheminSingulier et magiqueL’œil de ton enfanceQui détient à sa sourceL’univers des regards.
Andrée Chedid (1920-2011), in Épreuves du vivant,Ed. Flammarion, coll. Vieux fonds, poésie, 1983.
Coucou Jeanne,
RépondreSupprimerMagnifique poème d'Andrée Chedid... Merci !
Bises et bon mercredi - Zaza
Oui, il est beau de poème, pour moi, comme pour tous, l'enfance devrait être sacrée, plus jolis moments de la vie, l'innocence, jill
RépondreSupprimerJ'ai appris à ne plus porter mon enfance et mon passé. C'est ma jeunesse qui m'a appris la résilience. Bisous
RépondreSupprimerMerci pour ce superbe poème...étais bien occupée pas pu voir avant. Bon weekend bisous
RépondreSupprimerBonsoir Jeanne, excellent en tout, tout, tout ! Mille bravos ! Bonne soirée de ce mercredi. Bises
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