petit rappel, je suis dans l'impossibilité à cause d'un bug de déposer des commentaires sur les blogs de Blogger. Vous m'en voyez désolée.
En vous inspirant de l'image, je vous demande de mettre dans un contexte de votre choix , la phrase suivante : " J'ai une bonne et une mauvaise nouvelle... "
Pour corser la chose, vous introduirez dans votre texte les mots suivants ...
Manivelle, ablation, poivre, anniversaire, boutons, vert, avion, flacon, explosion, mariage
Bonjour frangin.Je sais que je ne t'ai pas écrit depuis la guerre des boutons et mon ablation d'une virgule qu'on disait inutile pour cause d'appendicite. Je n'avais pas apprécié le poivre que tu étais supposé avoir mis dans notre gâteau d'anniversaire. Ca avait tout déclenché ! Moi tordu de douleur et plié en deux sur mes boyaux en vrac, le père, pour une fois semblant ému, qui n'arrivait pas à faire démarrer la vieille traction à la manivelle. Et toi mon jumeau, tout penaud, me tamponnant le front d'un mouchoir imprégné de l'eau de Cologne du flacon de la mère que jamais nous n'avions le droit d'utiliser. Tu étais vert de trouille après chaque toussotement du moteur à explosion. Où était-elle la mère d'ailleurs ? transparente dans l'ombre du père sans doute, comme d'usage depuis leur mariage. Même quand le père t'avait accusé de cette mauvaise blague et la fâcherie définitive entre nous deux.Mais je ne t'écris pas aujourd'hui pour te rappeler cette stupide brouille. Depuis mon départ de la maison, tu sais peut-être qu'ils passent leur retraite à visiter toutes les régions touristiques de la planète. Ils ont ramené de chaque voyage de bien beaux objets, certains de valeur.Je t'écris pour te dire qu'ils étaient dans l'avion qui s'est craché l'autre jour au Népal. Il paraitrait qu'il y avait des branches d'arbre en bout de la piste de décollage. On ne pleurera pas longtemps ces Thénardier . La seule chose dont ils n'étaient pas avares, c'était des coups de ceinture. Et de leur art de nous dresser l'un contre l'autre.J'ai une bonne et une mauvaise nouvelle à t'annoncer :Grâce aux oursins qu'ils avaient dans les poches, ils ont amassé un joli pactole dont nous allons hériter. Ca c'est la bonne nouvelle. La mauvaise c'est que le père avait une double vie et trois autres enfants avec qui il va falloir partager.J'espère au moins que leur disparition sera pour nous deux l'occasion de nous réconcilier, même s'il me semble improbable de retrouver notre complicité de la prime enfance.Bien à toi,
ton frère qui ne t'a jamais oublié.
Quand on apprend qu'on est soudain plus que deux dans l'affaire, le partage est moins intéressant, mais tout de même, ces parents-là avaient de l'oseille.... ,-) bises jill
RépondreSupprimerUne triste histoire que celle de ces deux frères fâchés ! Ne reste plus à espérer qu'enfin ils se réconcilient sur la tombe de ces parents qui les ont si mal aimés.
RépondreSupprimerBonne semaine
Bises
Ne serait-il pas le frangin qui a déposé des branches sur la piste ? J'ai pris plaisir à te lire. Merci. Bisous
RépondreSupprimerQuelle histoire Jeanne...
RépondreSupprimerLa brouille entre les frangins était tenace...
Bises et bon début de semaine – Zaza
https://zazarambette.fr
Agréable à lire
RépondreSupprimerUne excellente réponse à ce défi Jeanne , la brouille des frères n'est plus de mise maintenant.
RépondreSupprimerBon lundi
Bises
Bonsoir Jeanne, excellente participation mais, si triste, hélas ! L'argent en plus qui d'en mêle !!! Ouf ! Hein !!! Douce soirée. Bises
RépondreSupprimer... qui s'en mêle ... bien entendu ...
Supprimerbon au moins ça leur a permis de se réconcilier un peu et puis l'argent ne fait pas le bonheur n'est ce pas? lol
RépondreSupprimerCa ressemble un peu à mon récit sauf que chez moi l'héritière a pardonné tous les frasques de son père ! Bisous et à demain pour l'annonce du défi 296 avec notre chère Josette aux commandes !
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