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jeudi 11 décembre 2025

Poésies du jeudi : Pré-cosmologie, poème personnel

petit rappel, je suis dans l'impossibilité à cause d'un bug de déposer des commentaires sur les blogs de Blogger. Vous m'en voyez désolée.
Je m'en excuse auprès de tous les blogueurs que je ne peux joindre dont Josette, An'Maï, Marie-Sylvie, Miss-Yves, sur Blogspot et sur certains blogs wordpress  (dont celui de Colette et Lilou)... et j'en oublie ...

Pour illustrer en poésie le défi 317 de lilou concernant un colis, j'ai requis "colis" sur mon blog et Blogger n'a rien trouvé. Alors, pensant à Noël, j'ai requis "cadeau"*. Les trois premières propositions sont des écrits que j'ai fait pour différents ateliers. Etrangement, ils parlent tous les trois de près ou de loin d'œufs et ou de naissance. La première, évoquant les œufs et les cloches de Pâques, ne convenait pas à notre calendrier. La deuxième évoque l'automne mais pas que et je la proposerai peut-être jeudi prochain ... ou pas. J'ai choisi la troisième, si raccord avec le sens premier de Noël.

Pré-cosmologie

Ce sont de vieilles, vieilles légendes
l’œuf à la genèse du Monde.

Kalevala pour les Finnois
sur les genoux de Ilmatar
Râ dans l’œuf offert en cadeau
tel un écrin de joaillier
parmi les roseaux
par les soins d'Ibis,
l'oiseau céleste,
dans la lointaine antique Egypte.

Aux premiers siècles de notre ère
le dieu Pangu par le désert
en Chine pour enrichir le Tao
Ciel et terre complémentaires,
Quand en sanskrit était transcrit
les vieilles croyances du Brahmanda
Quand à l'autre bout de la Terre-noyau,
Les Incas fils du soleil
Y vénéraient leur joyau.

Ce sont de très vieilles légendes,
l’œuf à la genèse d'un Monde.

©Jeanne Fadosi, vendredi 27 avril 2016
pour l'image 13/2016 de Miletune

Vladimir Kush, sunrise by the ocean

Vladimir Kush — Wikipédia, né en 1965 en URSS, peintre et sculpteur surréaliste 

*mes autres trouvailles sur ma requête :
Fadosi continue: Souvenirs, souvenirs ... pour le jeudi en poésie 21 avril 2022 du déficroq 264 proposé par Zaza
Pour cette image de maternité, j'avais écrit :
Fadosi continue: Berceuse, écrit le jeudi 7 février 2019


En bonus
, petits extraits du roman que je viens de terminer :
Les jours viennent et passent, de Hemley Boum, Gallimard 2019

" Les hommes faits envoient des jeunes gens à la guerre, c'est ainsi partout et de tout temps. Les vieux créent les conditions des conflits, nourrissent les hostilités, prétendent défendre des questions essentielles : le bien conte le mal, quand ils ne font que s'arc-bouter sur les privilèges en convoitant les richesses des autres. Ils ourdissent des stratégies délétères, puis lancent leurs enfants à l'assaut de l'ennemi.
Pour masquer leur avidité meurtrière, ils parlent avec conviction de courage, de patriotisme bien à l'abri dans les quartiers généraux, les bureaux ou sur les plateaux de télévision tandis que le sang des jeunes est versé dans les combats, leur esprit saccagé dans la férocité de batailles qui à jamais polluent leur âme.
Et le cercle sans fin se renouvelle à chaque génération, car aucune guerre ne se gagne. La haine  nourrit le désir de vengeance qui se transmet en même temps que les gènes. Le premier sang versé au commencement du monde appela l'hémorragie que nous alimentons avec obstination sur la terre entière."
Hemley Boum, Les jours viennent et passent, éd. Gallimard folio 2019 page 369.

"Nous ne cacherons rien au bébé, nous lui dirons ce que nous sommes. Tous ensemble, nous en ferons quelqu'un de bien, de solide. Tu comprends ? Un enfant a besoin de toute sa communauté pour grandir en confiance, aucun de nous ne sera de trop."
Hemley Boum, Les jours viennent et passent, éd. Gallimard folio 2019 page 395.


"élue meilleure chanson française du XXe siècle, selon le mensuel Notre temps en 1987 et arrivée en 1988 en tête d'un sondage organisé par la SACEM, RTL et Canal+, visant à déterminer le hit-parade des plus belles chansons du siècle" Prendre un enfant — Wikipédia

mardi 9 décembre 2025

Oyez, oyez Les croqueurs : RDV chez Lilou ... élémentaire mon cher ...

Je l'ai guetté hier matin et hier soir. Dômi nous avait dit que le capitaine de quart serait lilou.

Ouf ! c'est bien Lilou qui, avec sa plume, chatouille notre créativité pour nous faire part de sa feuille de route qu'elle nous propose pour le défi 317 des CROQUEURS DE MOTS à publier le lundi 15 décembre prochain

Alors allez vite la découvrir ici :


Ensuite, ce sera la trêve des confiseurs avant un prochain défi annoncé en janvier et toujours en alternance avec le mot mystère, avec en toile de fond que Dômi va se consacrer surtout à préparer son chemin de 2026. 
Si nous revenons à la liste pour déterminer qui sera de quart  quinzaine (eh eh) ce devrait être Colette puis les cabardouche puis Marie puis Durgalola, ensuite Jazzy puis Zaza, Annick, Renée, François ... mais évidemment, chacun peut permuter en fonction de ses disponibilités.
Dômi a annoncé qu'elle reprendrait son bâton de pélerine au printemps, est-ce toujours la cas Dômi ?
La Coquille devra trouver un une amiral-e au moins par interim ...

Belle semaine et fructueuses cogitations les croqueurs et encore un grand merci Dômi de maintenir à flot notre coque de noix ... tu te souviens ?


C’était en quatorze de l’an deux mille

Que la commandante Dômi

Prenait la barre de la coquille

après Brunô son bâtisseur suivie de Tricôtine 

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lundi 8 décembre 2025

Les promenades de monsieur Lucien

 
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Les promenades de monsieur Lucien*

Il ne s'y aventurerait pas seul. Sa brume est devenue trop uniforme. Tant de chausse-trappes sous ses pas le feraient chuter. Il sait gré à ses amis de supporter qu'il ralentisse leur progression en l'ayant accepté dans leur groupe.

Sans amis de cœur
ses murs seraient sa prison
sur ses souvenirs.

Au fil des sorties, il a pris de l'assurance. Ses yeux, moins rivés sur ses pieds et sa canne, osent porter devant. Au fil des semaines, le voile se déchire un peu. Il maudit ses jeunes années  à négliger les sorties nature pour consacrer ses dimanches à ses études. 

Sa vue s'altérait
il accusait la fatigue
la lumière artificielle

Ses pensées s'émancipent plus loin encore, vers ces années d'école et les jeux dans les prés et les chemins creux, les yeux embrassant l'horizon des collines. Son regard est flou mais son cerveau encore agile. Il fait le lien.

La campagne prodigue
en leçons de choses gratuites
éduquait leur vue.

Le chemin un peu plus net semble lui dire qu'on peut encore maintenir le flou en respect. Mais que deviendra la vision de ces enfants, nez à quelques centimètres de ces diaboliques petites machines ? 

Est-il encore temps
de choisir d'autres chemins
en humanité ?
©Jeanne Fadosi, vendredi 5 décembre 2025
pour la page 251 de l'Herbier de poésies
à découvrir avec les autres brins sur la page 251




pour accompagner ces vagabondages 





jeudi 4 décembre 2025

Poésies du jeudi : Lumières des villes, deux haïkus de mon cru

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Sous les réverbères
Des passants semblent danser
Les Champs* sont à eux
©Jeanne Fadosi, pour le 21 juin 2011
 
*Les Champs Elysées de Paris, depuis l'entrée de l'avenue sur la place de la Concorde, en décembre 2008
Sur le blog de Patriarch un timbre panoramique du même endroit à la même époque, dans les années 1980 ou 90


Au bout du village
Le réverbère s'invite
Dans la nuit précoce
©Jeanne Fadosi, pour le 21 juin 2011
 
      Le réverbère de village chante aussi avec les mots de Jill Bill, veillant sur nos nuits (voir mon billet du jeudi de la semaine dernière).



mardi 2 décembre 2025

Il y a 12 ans, j'écrivais ...

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Et une excuse particulière pour Elisabeth car mon antivirus m'interdit l'accès à son blog alors qu'elle dépose des commentaires sur le mien.

C'était pour le 3 décembre 2012 et Jill Bill nous avait donné comme consigne "Mon chez moi, ma maison"

Quatre murs et un toit
Qui m'abritent du froid,
Un lit pour y dormir
Et un fauteuil où lire ;
Un cabinet1 pour la toilette,
Un miroir à coquettes2
Baignoire et machine à laver,
L'eau courante3 au robinet ;
La cuisine où se nourrir,
Casseroles et poêle à frire,
four et réfrigérateur.
Le petit coin à l'intérieur4.

La radio me parle de livres
Et du monde dans la pièce à vivre5 ;
Le piano muet se souvient,
Quelque désordre me convient.
J'ai mis au nord mon chevalet
Pour éviter les reflets
Sur un pastel ou une toile,
Près d'une fenêtre sans voile.
Le chat du lieu fait la sieste,
Roulé en boule sur ma veste ;
L'ordinateur et son clavier
Ont remplacé mes vieux cahiers
Et la fière machine à écrire ...
J'aurais tant de choses à vous dire.

J'y passe mes jours et mes nuits.
C'est mon refuge, mon logis.
Un dernier rayon de soleil
Sur un mur dessine le ciel.
Vers la fenêtre mon regard
Songe. Il est si tard ?

©Jeanne Fadosi, samedi 1er décembre 2012,
pour le défi n°91 des CROQUEURS DE MOTS


1.- à distinguer des toilettes. Clin d'œil au nom que l'on donnait, "cabinet de toilettes" à l'endroit où l'on faisait sa toilette (quand le logement avait ce genre de petite pièce) avant que la salle de bain (avec baignoire) ou la salle d'eau (avec douche) ne se généralise dans les logements. Dans bien des habitations, il fallait prendre son tour à la cuisine ou utiliser une cuvette et un broc dans la chambre à coucher

2.- j'ai bien écrit coquette et non facettes. Chez mon oncle et ma tante (voir le veston de Gaston), le miroir était dans la cuisine et on mettait un torchon devant pour que les enfants ne passent pas leur temps à se regarder dedans.

3.- l'eau courante s'est progressivement généralisé en France à partir des années 1960-1970, du moins dans les villages, et encore, pas partout. Il y a à peine 50 - 60 ans.

L'accès à l'eau potable, qui devrait faire partie des droits fondamentaux, reste un luxe : près d'un milliard de personnes ne bénéficient d'aucune source d'eau potable et plus de 2,5 milliards n'ont pas accès à un assainissement amélioré. voir note 4

4.- Qu'on l'appelle toilettes, WC, cabinets, lieux ou cabinet d'aisances, petit coin, le fait d'en disposer à l'intérieur de son logement demeure un luxe sur la planète. N'en déduisez pas non plus que c'est une invention moderne : des archéologues ont mis à jour des vestiges de toilettes avec chasses d'eau dans la vallée de l'Indus, datant du XXVe siècle avant JC.

5.- La composition des logements modernes a beaucoup évolué au XXème siècle. Dans les logis modestes, longtemps au mieux il y avait une ou deux chambres en plus de la pièce commune et souvent c'était l'unique pièce. Les demeures plus cossues comportaient soit une salle de séjour, soit un salon et une salle à manger séparés, de préférence assez loin de l'office où "officiaient" les domestiques. Ce n'est qu'à partir des années 1950 que les habitations ont vu se généraliser des "salles à manger - salons, non entièrement cloisonnées, qui comptaient d'ailleurs dans les normes comme deux pièces.  

La mode s'est en même temps généralisé d'utiliser des termes anglais. D'où le "living-room" et pour faire plus court, le "living".

C'est drôle, je n'avais pas relu ce texte "Autour de soi-même" écrit pour un autre défi pour ABC qui demandait de faire le tour de soi-même.

Pour l'atelier d'écriture de mardi 2 décembre nous avions parmi les propositions d'écriture (sans obligation, ce ne sont pas des "devoirs à la maison") : 


lundi 1 décembre 2025

Déficroq 316 (n°7 2025-26) : panne d'électricité

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Je m'en excuse auprès de tous les blogueurs que je ne peux joindre dont Josette, An'Maï, Marie-Sylvie, Miss-Yves, sur Blogspot et sur certains blogs wordpress  (dont celui de Colette et Lilou)... et j'en oublie ...

c'est bien Josette qui, depuis sa cachette, allume sa lanterne pour nous faire part de sa feuille de route qu'elle nous propose pour le défi 316 des CROQUEURS DE MOTS à publier ce lundi 1e décembre et voici ce qu'elle nous propose :

Face à l'inattendu !
Suite à un phénomène imprévisible l'électricité vient à manquer pour une durée indéterminée !
Il vous reste une bougie et des allumettes...
Vous nous racontez cette expérience !
Avec 4 mots imposés :
Atourneuse, Embarbotter, Marsouinage, Tranche-montagne (définitions sur le blog des CROQUEURS DE MOTS, merci Dômi d'avoir cherché pour nous)

Si j'avais pris connaissance du sujet une semaine plus tôt, j'aurais pu le trouver très original (les habitants à proximité de l'Espagne ne sont pas de mon avis et je pense à ceux d'Ukraine et de Gaza soumis aux black out et à ceux du Pacifique qui subissent actuellement les cyclones) car les pannes sont devenues bien plus rares ces dernières années, du moins dans ma région. J'aurais alors pu évoquer la grande panne de décembre 1978 qui avait plongé pratiquement toute la France dans le noir vers 8h et demie du matin. J'étais avec l'une de mes colocataires en train de finir mon petit déjeuner avec un thé bien chaud quand le plafonnier s'était pris pour une lampe à halogène qu'on poussait à son maximum (oui, cela existait déjà) avant de décliner linéairement en quelques lentes secondes jusqu'à l'extinction totale, tel le marsouinage d'un bolide lancé à pleine vitesse qui subit un freinage brutal. Je suis même allée aux infos. Il me semble que la panne avait duré bien plus que les 4 heures énoncées dans les journaux d'époque. Il faut dire que la chaudière au fuel avait quand même besoin d'électricité pour le démarrage et que celui-ci n'était pas automatique. Le soir en rentrant du travail, la grande maison que nous louions affichait péniblement 10°.
Non, l'autre vendredi vers 10h et demi, j'étais en train de préparer mes billets mes photos du samedi sur OB et ceux sur le 25 novembre et les catherinettes. Comme souvent, j'avais flâné sur la Toile plus que de raison. Il faisait clair. J'ai à peine remarqué la radio muette et la lampe éteinte, sans même s'embarbotter ! pas un seul bégaiement ni de la radio, ni de la lumière ! Coupure instantanée. Mais OB ou Blogger m'a refusé la nouvelle sauvegarde de mon brouillon car il n'y avait plus de connexion à Internet ! Of course.
Ma curiosité sur la Toile ? je voulais vérifier que le 25 novembre, il n'y avait pas que les couturières mais aussi les coiffeuses par exemple qui fêtaient les catherinettes. On dit bien "coiffer Sainte Catherine". Point d'atourneuse que le dictionnaire de l'Académie française disait déjà obsolète à sa création. Pourtant ces artistes qui débordaient d'inventivité pour parer les têtes ce jour-là étaient dignes du talent de ces coiffeuses du Haut Moyen-Âge !
 

Coupure instantanée et pour ... . La mairie nous disait midi et demi, le fournisseur peut-être vers 13h30. Je me suis résignée à étrenner un cadeau de Noël (je n'aime pas anticiper sur le calendrier, un reste de superstition peut-être bien que je m'en défende) qui m'a été donné en avance : un set raclette pour deux fonctionnant avec des bougies de chauffe plat. J'avais de la bonne charcuterie et du fromage corses et même quelques pommes de terre que j'avais fait cuire à l'eau la veille.
Damnation ! les bougies n'étaient pas fournies. Il me semblait qu'il m'en restait de mon lointain déménagement où le chauffe-plat s'était perdu avec un carton égaré. Bon il en restait 5 dans la boite et il en fallait 4 pour l'appareil. Je n'aurais pas droit à un second repas chaud ! Pourvu que le courant revienne vite ! Advienne que pourra, j'avais envie de manger chaud dans ma maison tout électrique et on nous annonçait une réparation pour vers le début de l'après-midi.
J'attendrais pour me faire un café bien chaud.
Le fromage a fondu, doucement et en prenant son temps, les pommes de terre étaient tièdes.  J'ai pris les annonces de réparation avec prudence. J'avais raison, une micro-coupure a coupé le son et Internet vers 17h. Un quart de seconde suffisent. Sans me douter que d'autres villes et villages du coin sont restés beaucoup plus longtemps sans cette énergie dont on ne sait plus du tout se passer.
Et si certains communicants fanfaronnaient sur l'heure estimée du retour à la normale, je pense que les équipes à l'œuvre faisaient au mieux, sans faire les casse-montagne.

La veille, chez eux, le courant n'avait été rétabli que tard dans l'après-midi peut-être au moment de la micro-coupure, du moins j'espère pour eux que la panne ne durait pas depuis la veille !



Cet été, je suis passée dans le premier village d'affectation de mon père après le mariage de mes parents


















Loin des éoliennes de leur jeunesse

Eolienne restaurée et en marche du côté de Giel (Orne) en 2009, telle celles que je voyais toutes rouillées depuis des années. Un bémol, elle était assez bruyante mais des maisons environnantes on ne l'entendait pas. Elles servaient à drainer les terrains humides voire marécageux des bords de rivière et certaines avaient été équipées d'un générateur de courant électrique.
Je ne sais pas si elle existe toujours.