petit rappel, je suis dans l'impossibilité à cause d'un bug de déposer des commentaires sur les blogs de Blogger. Vous m'en voyez désolée.
Je m'en excuse auprès de tous les blogueurs que je ne peux joindre dont Josette, An'Maï, Marie-Sylvie, Miss-Yves, sur Blogspot et sur certains blogs wordpress (dont celui de Colette et Lilou )... et j'en oublie ...
Ma participation au défi 314 des CROQUEURS DE MOTS est à l'article précédent ou suivant
Villes post-modernes
Il y avait vu la ville
J'avais deviné
Des Babylone modernes*
les sanglots de leurs chagrins
derrière les fenêtres closes
©Jeanne Fadosi, mercredi 8 octobre 2025
pour la page 250 de l'Herbier de poésies
à découvrir avec les autres brins sur la page 250
Un an déjà ! Je joins bien évidemment mes pensées à celles de Adamante :
"Merci à Marine pour cette photo d'une œuvre de Arnaud Bouchet.
Une pensée pour Lui."
En illustration sonore, J'aurais pu choisir la ville qui l'a vu naître avec l'inoubliable chanson de Claude Nougaro Toulouse CLAUDE NOUGARO Toulouse . La musique et la voix du chanteur subliment des paroles qui, à elles seules, font un écho-poème inégalable à la peinture du fils de Marine. Voici aussi :
album La vie de rêve, 2019
Merci aussi Jeanne.... Bel hommage à Arnaud, qui hélas n'est plus.... bises jill
RépondreSupprimerCoucou Jeanne. Le tableau d'Arnaud est magnifique et Toulouse chantée par Claude Nougaro l'accompagne à merveille.
RépondreSupprimerBises et bon début de semaine. Zaza
Beau texte triste.
RépondreSupprimerBonjour Jeanne,
RépondreSupprimerUne belle participation. J'aime imaginer la voix de Nougaro en arrière plan de la belle toile d'Arnaud. La Basilique Saint-Sernin émergeant des toits de la ville rose ,ou celle du Sacré cœur à Paris: deux options qui effleurèrent mon esprit.
Bravo Jeanne pour ton poème
Amitiés
:)
Ton tanka , plus ton choix musical, tout est dit, jaime ton interprétation du tableau.
RépondreSupprimerLes villes s’ouvrent
RépondreSupprimerEt se ferment en même temps
Babylone moderne abrite les larmes de ses enfants
Bonjour Jeanne
RépondreSupprimerEst-ce la pluie, est-ce les larmes qui coulent sur ces longues aires, de solitude, de crainte et parfois d'espérance ?
Merci pour Nougaro qui a bercé ma jeunesse.
Claude Nougaro qui a marqué nos années ado et plus. Merci pour l'oeuvre d'Arnaud qui n'est plus, d'après Jill Bill, je ne le connais pas, et merci pour les quelques vers. Bon après midi, bises.
RépondreSupprimerChère Jeanne,
RépondreSupprimerUne émotion qui passe même derrière les fenêtres !
Ta capacité à déceler les "sanglots" cachés dans cette ville peinte est remarquable.
La " Babylone moderne" est une vision poétique qui donne une dimension tragique et magnifique à l'œuvre .
Tu as résumé en quatre lignes tout le poids de l'âme humaine de la cité.
Un petit poème qui résonne longtemps après la lecture !
Bien amicalement, Marie Sylvie
Que dire de plus : c'est magnifique. Merci, Jeanne.
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