petit rappel, je suis dans l'impossibilité à cause d'un bug de déposer des commentaires sur les blogs de Blogger. Vous m'en voyez désolée.
Je m'en excuse auprès de tous les blogueurs que je ne peux joindre dont Josette, An'Maï, Marie-Sylvie, Miss-Yves, sur Blogspot ... et et cela s'aggrave aussi avec wordpress, je n'ai pas pu non plus commenter chez Colette !!!
Pour cette quinzaine, défi 308, c'est MARIE SYLVIE qui nous propose de Plonger dans l'esprit des " Bons Vivants ", DES GASTRONOMES DE L' INSTANT Clic---> et Clic--->
Comme à mon habitude, j'ai eu le réflexe de faire une requête sur mon blog. Mais laquelle ? Va pour chercher plutôt dans la rubrique "poésie de l'instant".
Les deux premiers choix ne donnent pas lieu à se réjouir de la vie si ce n'est goûter la chance inouïe que l'on a au regard de tant de souffrances.
Le troisième m'a de nouveau embarqué dans la beauté du clip mis en lien et renvoyé bien loin dans mon enfance.
Voici pourquoi je partage à nouveau ici l'une des premières chansons de Jacques Brel que j'ai su et chanté par cœur.
---> Ce clip passeur d'émerveillement et de réflexion, à écouter et regarder avant ou après :
Birds On A Wire - Sur La Place (Official Music Video), une chanson de Jacques Brel, 1953, 1954
Sur la place chauffée au soleilUne fille s'est mise à danserElle tourne toujours, pareilleAux danseuses d'antiquités,Sur la ville il fait trop chaudHommes et femmes sont assoupisEt regardent par le carreauCette fille qui danse à midiAinsi certains jours, paraîtUne flamme à nos yeuxA l'église où j'allaisOn l'appelait le bon DieuL'amoureux l'appelle l'amourLe mendiant la charitéLe soleil l'appelle le jourEt le brave homme la bontéSur la place vibrante d'air chaudOù pas même ne paraît un chienOndulante comme un roseauLa fille bondit, s'en va, s'en vientNi guitare ni tambourinPour accompagner sa danseElle frappe dans ses mainsPour se donner la cadenceAinsi certains jours, paraîtUne flamme à nos yeuxA l'église où j'allaisOn l'appelait le bon DieuL'amoureux l'appelle l'amourLe mendiant la charitéLe soleil l'appelle le jourEt le brave homme la bontéSur la place où tout est tranquilleUne fille s'est mise à chanterEt son chant plane sur la villeHymne d'amour et de bontéMais sur la ville il fait trop chaudEt, pour ne point entendre son chant,Les hommes ferment les carreauxComme une porte entre morts et vivantsAinsi certains jours, paraîtUne flamme en nos cœursMais nous ne voulons jamaisLaisser luire sa lueurNous nous bouchons les oreillesEt nous nous voilons les yeuxNous n'aimons point les réveilsDe notre cœur déjà vieuxSur la place, un chien hurle encoreCar la fille s'en est alléeEt comme le chien hurlant la mortPleurent les hommes leur destinée
Jacques Brel 1954, vinyle 45 tours
Sur la place, Grand Jacques, Ça va (le diable), La Haine
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Anémone de mer dansant, peint par ma sœur Jacotte |
Jacques Brel, 1929 - 1978, — Wikipédia (wikipedia.org) auteur-compositeur-interprète, poète, acteur et réalisateur belge
Je ne connaissais pas, ta soeur sait bien jouer du pinceau..... ;-) amitiés, JB
RépondreSupprimerMerci de me faire connaître cette belle chanson de Brel. Bisous
RépondreSupprimerCoucou Jeanne.
RépondreSupprimerUne très jolie chanson du Grand Jacques, merci !
Bises et bon jeudi - Zaza
Voilà une chanson que je découvre merci.....Très bonne idée de l'avoir mis à l'honneur. Bises bon weekend
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