petit rappel, je suis dans l'impossibilité à cause d'un bug de déposer des commentaires sur les blogs de Blogger. Vous m'en voyez désolée.
Capuche rouille au ventla joggeuse trace sa routesous le soleil pâle.Que voit-elle du paysage ?Qu'entend-elle des cris d'oiseaux ?Dans les frondaisonsaux mille couleurs de l'automneUn chant salue l'astre.Migrateur fait-il étape ?Sédentaire veut-il colloque ?La silhouette s'enfoncedans le sentier forestierni tortue ni lièvreAu bord du petit étangdes canards l'ont salué.
©Jeanne Fadosi, jeudi 7 novembre 2024
pour la page 238 de l'Herbier de poésies
à découvrir avec les autres brins sur la page 238
Merci aussi Jeanne, du brouillard nous en avons ces derniers jours, et par tous les temps il y a ces joggeurs, fidèles à leur passion.... Bises jill
RépondreSupprimerQuand je fais mon jogging je suis autant sensible à la nature peut-être plus parfoisque quand je marche et quand je suis séduite je m'arrête prendre une photo. Mon corps quand je cours secrète des endorphines qui me permet de ne plus rien ressentir de mon corps physiquement même ma tendinite qui me rend la marche douloureuse et d'être plus réceptive. Bisous
RépondreSupprimerQu'il est agréable de se promener dans la campagne lorsque l'automne s'ensoleille.
RépondreSupprimerUne course effrenée bien décryptée de ce petit personnage, bravo Jeanne.
RépondreSupprimerBises et bon début de semaine – Zaza
https://zazarambette.fr
Beau plaisir d'automne entre couleurs chatoyantes et voiles de brume enveloppant d'un mystère les rencontres impromptues...
RépondreSupprimerJoggeuse et soleil pâle, une interprétation qui réchauffe, aux couleurs de l'automne.
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