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Au bord de la falaise
Nez en l'air, souriceau hésite à piéger ses poursuivants :la branche entamée semble bien fragile à sa base.Tiendra-t-elle même sous son tout petit poids ?Il sent le souffle de ses prédateurs dans son dos.
Face au précipice,
à sa poursuite deux matous
frêle rameau sauveur
L'un a vu le gouffre. Il recule, stoppant l'autre.Qui murmure dans un discret miaulement- Ce n'est pas l'heure d'un câlin !- Non ! juste notre dernière heure.
Et nos deux compères
qui ne sont pas téméraires
reculent prudemment.
©Jeanne Fadosi, mardi 6 juin 2025
pour la page 247 de l'Herbier de poésies
à découvrir avec les autres brins sur la page 247
Souriceau pour cette fois a la vie sauve, j'aime... merci, bises jill
RépondreSupprimerUn souriceau intrépide et malin. Et deux matous froussards. C'est bien imaginé. J'aime beaucoup!
RépondreSupprimerBonne journée et semaine Jeanne
:)
Les matous sont téméraires mais il ne faut pas trop en demander malgré l'attrait de la souris arrêt sur image... On en voit des choses sur une simple images !
RépondreSupprimerUn petit conte adorable avec ces matous et souriceau extrait de cette image en grisaille...
RépondreSupprimerBelle journée
Très escarpés ta falaise, Jeanne.
RépondreSupprimerEn moins contrasté, je voyais un cheval...🤣
Bises et bon début de semaine – Zaza
Souriceau a bien compris : mieux vaut une branche fragile que la griffe d'un chat !
RépondreSupprimerDe quoi avoir peur, mais tout semble s'être arrangé ! l'angoisse s'est diluée à la fin de l'histoire et c'est tant mieux. Bonne semaine, bises.
RépondreSupprimerChère Jeanne,
RépondreSupprimerQuelle histoire palpitante et pleine de suspense !
J'ai été complètement captivée par ce petit souriceau si malin et à la scène des deux matous face au précipice. Tu as créé une tension incroyable et le dialogue final est juste parfait, plein d'humour et d'ironie. On visualise parfaitement la scène et on retient notre souffle avec les personnages.
C'est brillant de transformer cette image mystère en un tel récit d'aventure et de survie.
Bravo pour cette imagination débordante !
Bien amicalement, Marie Sylvie
Petit souriceau est sauvé, tant mieux, Jeanne, belle proposition !
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