petit rappel, je suis dans l'impossibilité à cause d'un bug de déposer des commentaires sur les blogs de Blogger. Vous m'en voyez désolée.
Pour cette quinzaine, défi 307, c'est Zaza qui s'y colle et voici ce qu'elle nous propose :
Pensez à un objet usuel de la maison et écrivez une petite histoire en le faisant vivre et en insérant éventuellement des dialogues savoureux! L’humour est vivement conseillé.
mais tu peux l’appeler Térébenthine.
Et puis je voulais, quelques jours après la fête des mères, redire la chance d'avoir eu des parents qui savaient évoluer avec leur temps, ou plutôt en avance sur leur temps pour décider d'agir pour l'abandon des châtiments corporels.
Vous devinez que j'ai choisi d'illustrer la première réflexion.
Elle s'appelait Albertinemais tous l'appelaient Titinesauf pour sa mère nommée Thérèseloin d'être sainte, plutôt balèse.
Enfin Thérèse c'est pour la rimeet peut-être aussi pour la frimeJe creuse ma pauvre cervellepour rappeler son nom à elle.
Pour eux c'était un temps acceptableavec le martinet sur la table.La mémé était très âgéesoignée, nourrie ignorée juste logée.
Point de violence, un peu de rudessesans égard pour sa vieillesse.J'ai longtemps jugé durementune telle absence de sentiment.
Bien plus tard j'ai finalement apprisles traitements que, fillette, Titine avait subijusqu'à l'asseoir sur la cuisinièrepour lui apprendre les bonnes manières.
Alors les lanières d'un martinetpour ses enfants espiègles un tantinetlui semblaient plus douce punitionque les châtiments de sa génération.
Chez mes parents j'ai vu la disparitionde l'objet banal, une révolution !C'était encore dans les années cinquante,il y fallait une conviction militante.
Ensemble parents à l'école des parentsmontrer d'autres chemins pour devenir grandssans supprimer totalement les sanctionsmais en privilégiant la prévention.
Bien sûr il y eut des dérapagesde rares fessées, quelques orageset des limites dépasséeset des bêtises à corriger.
J'ai donc eu une douce enfanceet s'il y eut des remontrancesil y a eu tant d'amouret tant de souvenirs pour ces jours.
"Dans les familles, une loi interdit la fessée et plus globalement les violences éducatives ordinaires, depuis 2019. Pourtant, 24 % des parents ont encore recours à cette pratique."
Journal La Croix du 28 mars 2025
50 ans d'éducation : le nouveau documentaire Zone Interdite à ne pas rater - magicmaman.com, 4 avril 2025 ou sur la même émission : De la fessée à l'éducation "positive" : 50 ans de révolution des relations parents-enfants, le dimanche 06/04/2025 à 21h10 sur M6 dans Zone Interdite - La Télé crève l'Ecran
Éduquer sans punition : nos conseils pour poser des limites | Parents.fr 15 avril 2025
Tout un passé, avec martinet, pas connu, nous n'avions pas, mais la fessée, si !! Merci Jeanne, bises jill
RépondreSupprimerMes parents avaient un martinet et ne s'en servaient jamais, il était là comme menace pour nous inciter à la sagesse. Par contre j'ai reçu des coups de règle et des humiliations dans une école catholique.
RépondreSupprimerBelle rediffusion Jeanne complétée par des infos et des liens récents !
RépondreSupprimerBises et bon jeudi - Zaza